Salut,
Je voulais écrire un roman survivaliste un peu comme Patriots de James Hawley Rawles.
Donc un roman mais qui se veut aussi un guide de survie.
Je n'ai pas la science infuse donc je me dis que ça serait intéressant d'avoir vos retours aussi. Je vais essayer d'écrire à peu près 3000 caractères par jour ce qui fait environ un page A4.
Et peut être un jour qui sait il sera publié.
Alors on y va.
Par contre, je me lâche donc si certains passages sont pas trop hard pour le forum, n'hésitez pas à les couper.
Chroniques d’un effondrement annoncé
L’Histoire n’est qu’un éternel recommencement
I Constat
Henri était de plus en plus désabusé devant l’effondrement lent de la France. Chaque jour, les agressions gratuites pour un regarde de travers augmentaient. Les émeutes des racailles dans les banlieues étaient devenues presque hebdomadaires. Les attentats n’étaient pas en reste. Les fous d’allah regorgeaient inventivité. Leur dernière trouvaille étaient de se déguiser en femme voilée et de rentrer dans les écoles primaires. La suite est simple à imaginer.
« Rien que d’y penser, j’ai des envies de meurtre. Quel bande de sauvages. », se dit Henri.
Depuis qu’il avait lu le livre Management de la sauvagerie : l’étape la plus critique que franchira l’Oumma, il avait compris que les djihadistes n’agissaient pas de manière désordonnée. Chaque action, chaque attaque, avait pour but de permettre l’accomplissement du califat islamique. Ce n’étaient donc pas des déséquilibrés, comme le clamaient si fort les médias. Mais des gens conscients de leurs actes et désireux de détruire la civilisation européenne. Pour eux, les actes barbares qu’ils commettent servent à sidérer leurs ennemis pour leur permettre de prendre facilement le contrôle de la société.
Ils sont aidés dans leur tâche par tous les organismes anti racistes, anti colonialistes, pseudo féministes etc. Tous ceux qui crient à l’islamophobie dès qu’on critique l’islam, comme les communistes criaient au fascisme quand on les critiquait. Tous ces collabos s’évertuent à présenter l’islam comme une religion de paix et d’amour. En récompense des services qu’ils rendent à l’islam, ils espèrent obtenir ne récompense importante. Mais s’ils ont de la chance, les hommes finiront esclaves ou eunuques et les femmes serviront d’esclaves sexuels, comme il y en a eu en Syrie.
Henri se rappelait des ces vidéos qu’il avait vu tourner sur Facebook en 2016. Ces femmes yézidis vendues comme esclaves, comme du bétail. Cette pratique n’était pas nouvelle, puisqu’elle était allégrement pratiquée dans les pays musulmans et encouragée par Mahomet.Il y avait même une édit d’un compagnon de Mahomet, une loi interdisant de mettre en esclavage un autre musulman.
« Dans sa grande miséricorde, Allah a permis empêché les musulmans de mettre en esclavage un autre musulman. Quelle mansuétude ! Vraiment cette religion c’est l’oeuvre de Satan. Elle flatte toutes les passions humaines, sans en oublier aucune», se dit Henri.
Henri avait vécu comme étudiant en Île de France. Il y avait passé les pires années de sa vie. Dès qu’il avait pu, il était parti. Il savait depuis longtemps que tout allait s’effondrer et que Paris serait le pire endroit où être à ce moment pour un blanc, à part la Seine saint Denis bien sûr. Il pensa à tous ces gens qui allaient mourir de faim, de maladies, massacrés dans les grandes villes de France et d’Europe.
Un effondrement il y a 150 ans aurait causé assez peu de pertes humaines. Tout le monde, même les Parisiens avaient encore un potager et des réserves. Les gens se connaissaient et malgré les différences politiques, il y avait un sentiment patriotique fort. Et la société était beaucoup moins complexe. Tout était produit localement à part quelques ressources de luxe, importées des colonies. Il n’y avait pas d’électricité, pas d’Internet, pas d’eau courante, pas de voiture. Donc rien qui pouvait tomber en panne ou qui ne soit remplaçable très rapidement.
Aujourd’hui dans notre société ultra connecté et mondialisé, presque tout est importé d’ailleurs. Même les munitions de l’armée française viennent d’Israël. Certes la production agricole française est importante. Mais elle est massivement dépendante des engrais, des insecticides et surtout du pétrole pour faire rouler les tracteurs. Aujourd’hui, les fermiers sont moins d’1 % de la population. Selon Pablo Servigne, 120 millions d’européens devront retourner travailler les champs, en cas de rupture d’approvisionnement du pétrole. C’est à dire plus d’un 5e de la population européenne.