Bon, je reviens sur ce sujet avec un peu plus d'infos.
Notre Bonhomme s'appel Laurent Cuenca né le 12 septembre 1965,
son histoire sulfureuse commence en 2009 après 27 ans de service dans la Compagnie Republicaine de Sécurité, il se plaint cette année là de brimades et d'humilliations et est interdit de se présenter à l'anniversaire de la CRS 24 (pour qu'elle raisons?) d'après lui il aurait été forcé de prendre sa retraite anticipée sous la pression de sa hierarchie (ce n'est pas très clair, on y reviendras plus bas).
A priori l'origine du malaise entre notre fonctionnaire et sa hiérarchie est la création d'une association pour venir en aide aux policiers et nottament aux familles de policiers victime de suicide.
à l'époque il aurait été sanctionné durement par le Ministre de L’intérieur à 6 mois d’exclusion pour manquement à l’obligation de réserve (il aurait dénoncé pression, sous-effectif et manque de moyens, rien de trés original quoi).
C'est donc en janvier 2012 qu'il est mis à la retraite pour "invalidité psychiatrique" sur la foi d’un dossier comportant d’énormes irrégularités, son père aurait été déclaré mort par suicide alors qu'il est bel est bien vivant et sa mere idem alors qu'elle serait morte de maladie, bref, un rapport psychatrique indiquerait qu'il souffrirai de troubles psychatrique suite au dèces de son père et de sa mère (je rappel que son père est bien vivant).
Le 23 fevrier 2013 suite à un retard de paiement de sa pension notre Bonhomme décide que trop c'est trop et grimpe en haut d'une grue à Agen dans le Lot-et-Garonne et entame une grêve de la faim pour contester sa mise en retraite forcé.
après moult négociations avec le GIPN notre oiseau décide de redescendre de son perchoire après avoir négocier une avance sur un versement de pension et une réunion avec le directeur de cabinet de la préfecture...
En Aout 2013 la police intervient chez lui, perquisitionne, le place en garde-à-vue et le préfet du département décide de l'interner dans un hôpital psychiatrique à l'issue de sa garde-à-vue, ou il sera finalement libéré suite au rapport psychatrique (cité plus haut) comportant des erreurs flagrantes.
Le 11 Octobre 2013 notre Bonhomme était déféré devant le juge des libertés et de la détention pour être entré en contact avec une des victimes d'un dossier et menace de morts sur personnes dépositaires de l'autorité publique, mais notre fonctionnaire ressort libre mais condamné à trois mois de prison avec sursis.
notre lolo-Volaire inondait de courriels le directeur général de la police nationale, Claude Baland. Douze messages de menace dont la présidente du tribunal livrera des extraits : « Mon idole c'est Yvan Colonna Vous pouvez, au moyen d'une mallette avec 150 000 euros tout arranger Je vais vous donner du fil à retordre, Ma vengeance sera effective J'ai toujours su faire sauter les couvercles, y compris quand j'étais en Corse » sain d'ésprit je vous disait...
Bref notre Lolo à fini depuis par un peu se calmer et arreter de menacer les hauts fonctionnaires, après avoir disparu des écrans-radars il reviens depuis peu sur la toile pour dénoncer l'infiltration de la franc-maçonnerie dans la police francaise...
voilou, voila.