c'est surtout qu'une explosion au sol pulvérise des quantités de terres et de matériaux (de constructions et autres) en très très très fine poussières, que des composants radioactifs de la bombe s'y collent, et que la pression et la température les envoie sacrément haut (ce qui, au passage donne la forme en champignon)
et la poussière empêche les infrarouges de passer (c'est eux qui nous donnent chaud, les uv ne servent qu'aux plantes ... et aux rares insectes qui voient dans cette fréquence)
des explosions à moyenne altitude causeraient moins de probleme à ce niveau là (refroidissement), mais font également beaucoup moins de dommages mécaniques et thermique au sol (enfin, thermique, sur une moins large zone surtout)
si il y a des régiments de char sur la cible, on oublie, il faut que l'effet mécanique s'applique à fond, si c'est un site qu'on veux récupérer pour son usage, faire péter la bombe plus haut limite les dommages aux structures, tout en brulant et irradiant la population tout à fais efficacement
notez aussi que ces poussières qui montent assez haut pour occulter une partie du soleil sont radioactives, et que c'est elles, les retombées dont on doit se méfier ... donc, dites vous que si on en arrive à un véritable hiver nucléaire, toute la planète serai tôt ou tard recouverte par ces particules radioactives (tout ce qui monte doit redescendre, même si ça prend du temps)
inutile de rêver qu'une partie du monde échapperai à la contamination, l’atmosphère est le meilleur systeme d'échange de polluants qu'on ai jamais inventé
tout ça pour dire que si on en arrive là, il vaudrais mieux avoir un trou bien profond, et bien confortable ou se planquer quelques années (voir beaucoup d'années)
ce qui n'est pas à la portée du premier particulier venu
donc, on y resterai tous, tôt, ou tard, tôt pour les chanceux (les brulures par radiation, c'est très très vilain)
on va donc espérer que nos chers dirigeants si sages et si prévoyants ne péteront jamais les plombs à ce point là hein