quel bonne trousse de premier soin/secour ?

Pélerin, à un moment ou l'autre, compter l'un sur l'autre sera obligatoire, qu'on le veuille ou pas.

Chac a écrit:

Pélerin, à un moment ou l'autre, compter l'un sur l'autre sera obligatoire, qu'on le veuille ou pas.

C'est évident pourtant rien ne permet de dire qu'on ne risque pas de se trouver seul à un moment ou un autre !

Là, il ne faudra compter que sur soi ! L'autre ne sera pas là.

Là on est d'accord... ce sera 2 étapes différentes et consécutives, mais je crois qu'on est en train de pourrir le post de départ...

autre petite astuce, les épingles à nourrice, les plus petit model, peuvent une fois désinfecté servir de suture d urgence temporaire ,rappelons qu une suture doit être réalisée au plus tard 6 heures après l'heure de la blessure
bon je vous l accorde c'est pour les cas extrêmes mais l info est passé

Non, je ne crois pas !

Nous restons sur le sujet de la composition de la trousse de secours et nous comparons notre logique de choix !

Tu as raison sur l'aide que peuvent apporter les autres, à deux c'est moins seulâtre, à plus c'est rassurant et plus fort.

La trousse de secours peut-être plus complète parce que la somme des connaissances est plus étendue.

C'est un pari à faire sur un avenir qui n'est pas encore écrit.

Maintenant, que mettre dans cette fameuse trousse ?

De quoi soigner les petits bobos de la vie courante.

De quoi soigner des plaies peu profondes.

Est-il utile d'avoir de quoi faire un diagnostique si on a rien ou que l'on ne peut pas intervenir ?

C'est la question que je me suis posé en lisant ce sujet.

A partir du moment où on soigne, on fait un diagnostic, mais je comprends ce que tu veux dire. Emporter des choses que notre connaissance propre ne peut utiliser est effectivement délicat mais bon, je ne parle pas non plus d'emporter une salle d'op dans son sac. Peut-être un peu de matos léger et plus spécifique genre scalpel, pinces, etc. Tout dépendra aussi de comment on se déplace, de combien on est, que sais-je encore ?