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 Testé de l'eau

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N°65

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MessageSujet: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 30 Jan 2024 - 11:03

Bonjours à tous,

Avant toute chose, je vais vous raconter une histoire qu'à eu un de mes voisins dans j'avez encore des voisins.

Se brave messieurs reçoit les services des eaux, pour teste l'eau de sont puits, il voulez utiliser l'eau pour sa consommation et sont jardin. ils lui dit que sont eaux ais impropre à la consommation, n'y a l'arrosage de sont jardin, etc...

Doutant des véracités des agents, il prend une bouteille d'Evian, l'ouvre et vas la déposer dans un labo pour analyse. Le résultat de l'eau est impropre à la consommation.

Ont ne peut faire confiance aux labo sur leur verdicts. Le mieux que l'ont puis fait est de donné plusieurs eaux sans donné l'origine de l’eau.

Revenons aux tests
Il est très facile des faire les tests de l'eau soit en colorimétrie ou en photométrique. Sa vas vous coûté moins cher et vous allés pourvoir faire aux minimum 25 à plus de 250 testes suivant l'élément rechercher.

Hanna Instruments

hannainstruments.fr/produits-hanna-instruments/reactifs/reactifs-cal-check/

et en cherchant dans le site vous aller trouver votre bonheur.

Vous pouvez les acheter en pharmacie.
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Milagi
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Milagi


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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 30 Jan 2024 - 18:59

Faire sois même des tests, même avec les bons outils, sans avoir les connaissances. Ça me semble dangereux.
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 30 Jan 2024 - 19:19

Non les testes ne sont pas dangereux, a part si on boie les réactifs, c'est assez simple d'utilisation? il faut juste être méthodique.
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Milagi
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 31 Jan 2024 - 7:45

Ce n'est pas ce que je voulais dire.

Je voulais dire que faire des tests sans y être formé me semble dangereux quant à l'interprétation des résultats. Je ne saurais même pas quoi chercher moi.

De plus, ça ne coûte pas un peu cher tout ce matériel pour tester juste sa propre eau ?
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 31 Jan 2024 - 8:22

Mais premier test je les ais fait à l'âge de 7 ans, je pense que un grand garçon de 46 ans peut le faire.
L'interprétation et quoi chercher:
Les normes sur la qualité de l'eau, pour la santé du le trouve sur le net.
Déjà il y a moi qui peut indiquer les éléments à chercher et en général dans le test il y a les indications général.

Je me méfit plus d'une eau sans couleur et qui ne mousse pas, qui semble claire et pure, c'est dans se type d'eau que tu te fait avoir.

Oups, j'ai oublier le prix.
Suivant l'élément ou valeur chercher le test est plus ou moins cher. c'est vrais aussi que toute la collection des tests à une certaine valeur.
Mais avec un test du peut faire 25 à 250 test suivant élément et valeur rechercher
sa couteras moins cher de faire t'est test par toi même que d'aller en labo qui se gave avec une appréciassions douteuse.
N°65
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Milagi
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 31 Jan 2024 - 12:53

Faut acheter des machines puis les réactifs. On parle de quoi niveau budget ?
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 31 Jan 2024 - 13:24

voici un lien marchant agricole.
agrifournitures.fr/952-photometres-reactifs-et-solutions

il est assez intéressent du fait que sais pour contrôler leurs traitement.
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Milagi
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 31 Jan 2024 - 16:14

Le lien que tu donnes affiche une liste de photometres tous spécifiques à un produit en particulier. Il en faudrait combien pour tester la présence de tous les polluants possible ?
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N°65

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Jeu 1 Fév 2024 - 7:00

je te fait sa, mais sa vas prendre un peut de temp et de recherche.
je vais mettre aussi une autre marque.
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Milagi
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Milagi


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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Jeu 1 Fév 2024 - 8:13

Tu n'es pas obligé de faire ça. Là où je veux en venir c'est qu'il va en falloir beaucoup et donc le coût de l'investissement va être très élevé.
Je ne sais même pas quels polluants pourraient se trouver dans l'eau. Je pensais qu'elle seule machine detectait tout ce qui est étranger et anormal. Et qu'ensuite on cherchait qu'elle quantité.
Si on test uniquement certains polluants probables on risque de passer à côté d'autres polluants dangereux mais qu'on aurait pas recherché.
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LLoyd68

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Jeu 1 Fév 2024 - 10:32

Prudence est mère de sureté.

Au lieu de la tester, filtrer la systématiquement. Il existe de très bon filtres qui permettent de consommer même des eaux initialement chargées. Je ne donne plus de marque, on va croire que je suis un représentant commercial du fabricant.

Mais en somme, ça coutera moins cher en temps et en investissement que de tester l'eau pour se dire au final qu'elle est impropre à la consommation... et qu'il faut la filtrer [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
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N°65

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Jeu 1 Fév 2024 - 11:40

Je suis tout à fait d'accord avec toi, mais il est intéressent de savoir si ton filtre, filtre toujours Laughing

J'ai quelque petit truc pour le savoir.
D'une manière général un filtre céramique et un filtre Charbon Actif est largement suffisant pour retirais les agents pathogènes et de retenir tous engrais, pesticide, fongicide, herbicide et médoc, pilule avortive, etc...
N°65
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LLoyd68

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Ven 2 Fév 2024 - 12:41

N°65 a écrit:
Je suis tout à fait d'accord avec toi, mais il est intéressent de savoir si ton filtre, filtre toujours Laughing

J'ai quelque petit truc pour le savoir.
D'une manière général un filtre céramique et un filtre Charbon Actif est largement suffisant pour retirais les agents pathogènes et de retenir tous engrais, pesticide, fongicide, herbicide et médoc, pilule avortive, etc...
N°65

on est d'accord ! à ce moment là tu as des colorants spécifiques, il me semble, qui ne doivent pas colorer ton eau en sortie de filtration.
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Ven 2 Fév 2024 - 21:19

oui mais faut trouver les colorants...

En pratique la nature nous a donné un colorant jaune qui jaillit quotidiennement....
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N°65

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 6 Fév 2024 - 7:42

Les colorants ou plutôt le colorant est simplement du Bleu de méthylène.

Milagi a écrit:
Tu n'es pas obligé de faire ça. Là où je veux en venir c'est qu'il va en falloir beaucoup et donc le coût de l'investissement va être très élevé.
Je ne sais même pas quels polluants pourraient se trouver dans l'eau. Je pensais qu'elle seule machine detectait tout ce qui est étranger et anormal. Et qu'ensuite on cherchait qu'elle quantité.
Si on test uniquement certains polluants probables on risque de passer à côté d'autres polluants dangereux mais qu'on aurait pas recherché.

Bien sur je ne suis pas obliger, mais il faut donnée le maximum d'info.
non il n'y a pas qu'une seule machine.

D'ailleurs il est préférable de prendre des testes colorimétriques que c'est appareilles en un premiers temps pour se faire la mains avec les tests.
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 6 Fév 2024 - 7:51

Petit chose, pour avoir une lecture propre et pas avoir de faux, il faut que la lentille du photomètre sois ULTRA propres. Dans la notice il indique l'entretien.

Chez Hanna Instruments

Mini-photomètre Checker HC alcalinité en eau potable (jusqu'à 500 mg/L) Ref. : HI775
Réactif liquide pour alcalinité dans l'eau douce pour HI775 et série HI833xx, environ 25 tests Ref. : HI775-26
Cette mesure est importante pour définir les caractéristiques corrosives de l’eau, dues principalement aux ions hydroxyde, carbonate et bicarbonate, et aux anions qui provoquent des hydrolyses tels que phosphates, silicates, borates, et les sels de quelques acides organiques. La mesure de l’alcalinité est essentielle lors du contrôle du sol, du traitement des eaux potables, des rejets, des systèmes de réchauffement et de réfrigération. En aquariophilie, l'alcalinité permet de déterminer le pouvoir tampon de l'eau, c'est à dire sa capacité à maintenir le pH constant.
Source : Hanna Instruments

Mini-photomètre Checker HC ammoniaque, gamme étroite (jusqu'à 3,00 mg/L) Ref. : HI700
Réactifs pour photomètres, ammoniaque gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93700-01

Mini-photomètre Checker HC ammoniaque, gamme moyenne (jusqu'à 9,99 mg/L) Ref. : HI715
Réactifs pour photomètres, ammoniaque gamme moyenne (100 tests) Ref. : HI93715-01

Mini-photomètre Checker HC chlore libre ou chlore total (jusqu'à 2,50 mg/L) Ref. : HI701
Mini-photomètre Checker HC chlore total (jusqu'à 3,50 mg/L) Ref. : HI711
Photomètre chlore total, jusqu'à 0,500 mg/L Ref. : HI97761
Photomètre chlore total, jusqu'à 0,500 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97761C
Réactifs DPD3 pour photomètres, chlore total gamme étroite (200 tests) Ref. : HI93711-D3
Réactifs pour photomètres, traces chlore total (100 tests) Ref. : HI95761-01
Réactifs pour photomètres, traces chlore libre (100 tests) Ref. : HI95762-01
Réactifs pour photomètres, chlore (hautes concentrations) (100 tests) Ref. : HI95771-01
Réactifs pour photomètres, chlore total gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93711-01
Réactifs pour photomètres, chlore total gamme étroite (300 tests) Ref. : HI93711-03
Réactifs pour photomètres, chlore total gamme étroite (300 tests) Ref. : HI93711-03
Réactifs pour photomètres, chlore libre gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93701-01
Réactifs pour photomètres, chlore libre gamme étroite (300 tests) Ref. : HI93701-03
Réactifs pour photomètres, chlore libre gamme étroite (300 tests) Ref. : HI93701-03
Réactifs liquides pour photomètres, chlore libre gamme étroite (300 tests) Ref. : HI93701-F
Réactifs liquides pour photomètres, chlore total (300 tests) Ref. : HI93701-T
Son utilisation pour la désinfection de l'eau potable ou des piscines génère des sous-produits dangereux, dont certains gazeux comme les chloramines, particulièrement au contact de la sueur et de l'urine. Certains sont toxiques, d'autres peuvent entraîner des défauts de naissance, d'autres encore sont génotoxiques et enfin certains sont des cancérigènes connus.
D'autres effets secondaires du chlore dans l'eau potable seraient liés à ses caractéristiques très oxydantes avec pour conséquences des irritations de la peau et une sensation de sécheresse en bouche conduisant parfois à un défaut d'hydratation. La plupart des filtres à base de charbon actif éliminent facilement le chlore par adsorption, au risque toutefois d'entraîner alors dans le réservoir à température ambiante une prolifération microbienne.
Source : Wikipédia

Photomètre chlorures, jusqu'à 20,0 mg/L Ref. : HI97753
Photomètre chlorures, jusqu'à 20,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97753C
Réactifs pour photomètres, chlorures (100 tests ) Ref. : HI93753-01
La directive européenne 98/83 du 3 novembre 1998 qui est entrée en vigueur le 23 décembre 2003 fixe à 250 mg/l la teneur maximum en ions chlorures dans l'eau potable.
Source : Wikipédia

Photomètre détergents anioniques, jusqu'à 3,50 mg/L (SDBS) Ref. : HI97769
Photomètre détergents anioniques, jusqu'à 3,50 mg/L (SDBS), livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97769C
Réactifs pour photomètres, détergent anionique (40 tests) Ref. : HI95769-01
Anioniques (alkylbenzènesulfonates, alkylsulfates, alkylarylesulfates), principalement utilisés dans les lessives et produits de nettoyage.
Source : Wikipédia

Mini-photomètre Checker HC cuivre, gamme large (jusqu'à 5,00 mg/L) Ref. : HI702
Photomètre cuivre, jusqu'à 1,500 mg/L Ref. : HI97747
Photomètre cuivre, jusqu'à 1,500 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97747C
Photomètre cuivre, jusqu'à 5,00 mg/L Ref. : HI97702
Photomètre cuivre, jusqu'à 5,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97702C
Réactifs pour photomètres, cuivre total (100 tests) Ref. : HI93702T-01
Réactifs pour photomètres, cuivre gamme large (100 tests) Ref. : HI93702-01
Réactifs pour photomètres, cuivre (100 tests) Ref. : HI95747-01
Le cuivre et surtout ses sels solubles sont reconnus toxiques et vénéneux à doses conséquentes ou fortes. À très faible dose, il s'agit d'un oligo-élément bien connu. Le corps humain contient environ 150 mg de cuivre sous diverses formes, et les besoins quotidiens sont de l'ordre de 2 mg pour une personne de 75 kg.
Il ne faut pas conserver des aliments dans des vases ou récipients en cuivre. La sagesse antique réservait ce métal à surface propre aux opérations de chauffage ou de transferts thermiques avec parfois des effets catalytiques recherchés, car les opérateurs connaissaient la dangerosité des sels solubles et vénéneux. Une solution technique possible a été l'étamage, c'est-à-dire l'application d'une fine couche d'étain à chaud, par exemple à certains ustensiles de cuisine. Mais dans ce cas, les surfaces protégées perdent leurs propriétés catalytiques.
L'ion cuivrique Cu2+ est soluble dans l'eau, ses solutions aqueuses sont un poison violent pour les micro-organismes et même à faible concentration, il a un effet bactériostatique et fongicide, assez éphémère, rarement pluriannuel. Dans certaines applications, cette propriété sert à prévenir le développement des germes et champignons (canalisations d'eau sanitaire, culture de la vigne, coques de bateaux et boiseries, etc.).
Il est par ailleurs un oligo-élément vital pour toutes les plantes supérieures et les animaux. Il est naturellement présent dans le corps humain et indispensable au bon fonctionnement de nombreuses fonctions physiologiques : système nerveux et cardiovasculaire, absorption du fer, croissance osseuse, bonne marche des fonctions immunitaires et régulation du cholestérol.
Pour l’Homme, le cuivre ingéré à très haute dose, en particulier sous ses formes oxydées (vert-de-gris, oxyde cuivreux, oxyde cuivrique) ou sous des formes souvent chroniques de poussières de composés de cuivre peut se révéler nocif. Quelques cas d’exposition prolongée au cuivre ayant entraîné des désordres sur la santé ont été observés. La Fiche de données toxicologiques et environnementales des substances chimiques de l’INERIS consacrée au cuivre et à ses dérivés peut être consultée librement.
L'empoisonnement aigu est rare, car l'ingestion de grande quantité provoque des réactions violentes de l'organisme, notamment des vomissements. Les anciens chimistes de laboratoire, qui pouvaient être confrontés à quelques accidents, proposaient des contre-poisons peu ou prou efficaces, comme l'ingestion régulée d'albumine (blanc d'œuf délayé dans l'eau), de la limaille de zinc [sic] ou de la poudre de fer réduite par de l'hydrogène comme réducteur, car le cuivre métallique n'était pas considéré comme vénéneux.
La contamination à la poussière de cuivre et à ses composés peut provoquer un état de malaise fiévreux proche d'une maladie virale ou petite grippe, autrefois dénommée la « fièvre du fondeur». Avec le repos, le malaise disparaît en deux jours.
L'exposition quotidienne au cuivre, à long terme peut provoquer une irritation des zones affectées pour les particules ou poussières, les muqueuses, les fosses nasales et la bouche, sans oublier les yeux. Elle entraîne maux de tête, maux d'estomac, vertiges, ainsi que vomissements et diarrhées. Les prises volontaires de fortes doses de cuivre peuvent provoquer des dommages irréversibles aux reins et au foie et conduire à la mort.
C'est un oligo-élément indispensable à la spermatogenèse (un taux anormalement bas de cuivre dans le plasma séminal est associé à l'oligospermie et à l'azoospermie), mais il peut, comme d'autres métaux, avoir un effet inhibiteur sur la motilité des spermatozoïdes. C'est ce que révèle une étude menée dans les années 1970 sur les métaux suivants : cuivre, laiton, nickel, palladium, platine, argent, or, zinc et cadmium).
D'autres travaux menés in vitro sur des rats ont montré dans les années 1980 que l’inhalation prolongée de chlorure de cuivre pouvait entraîner une immobilisation non réversible du sperme chez le rat. Les auteurs, du Département d'études vétérinaires de l'université de Sydney, remarquent que cet effet pourrait expliquer l'efficacité contraceptive des stérilets en cuivre, en plus de l'effet mécanique du stérilet qui inhibe le processus contraceptif en milieu utérin humain. Une autre étude montre que c'est une phagocytose activée par les leucocytes de la cavité utérine qui expliquerait l'efficacité des stérilets de cuivre.
Source : Wikipédia

Mini-photomètre Checker HC dureté magnésique (jusqu'à 2,00 mg/L) Ref. : HI719
Réactifs pour photomètres, calcium et magnésium (100 tests) Ref. : HI93752-01
Le magnésium intervient dans plus de 400 réactions biochimiques. Il est notamment impliqué dans le transport osmotique du glucose, le transport insulinique du glucose et dans toutes les étapes de la production d'énergie. Mécanisme majeur d'activation biochimique, consistant à ajouter un groupe de phosphate à une protéine, le magnésium est cofacteur de la phosphorylation. Il est également acteur de l'homéostasie, mécanisme permettant la conservation d'un équilibre intérieur (cellule, rythme cardiaque, miction, digestion, température corporelle, etc.) et cofacteur indispensable de la polymérisation des acides nucléiques.
Le corps humain adulte contient environ 24 grammes (1 mol) de magnésium, une moitié se trouvant dans les os et l'autre dans les tissus mous. Le sérum ne contient qu'environ 0,3 % du magnésium corporel, raison pour laquelle les concentrations sériques ne sont pas utilisables pour diagnostiquer la carence en magnésium. Le test de charge en magnésium, s'il ne cause pas de troubles intestinaux et si le sujet n'a pas de maladie rénale, est actuellement recommandé, bien qu'il ne soit pas standardisé. Dans certains cas de carence, la rétention de magnésium lors de la charge reflète son absorption intestinale et est considérée proportionnelle à la carence osseuse qu'elle vient combler. Les mesures du magnésium cellulaire total et ionisé sont fréquemment contradictoires et les mesures d'excrétion urinaire ne sont pas corrélées avec celles du test de charge, réputé plus fiable. La biopsie du muscle permettrait de connaître les concentrations de cet élément dans l'autre compartiment principal, mais cette procédure est rare en clinique. La recherche se tourne vers les techniques d'imagerie par résonance magnétique et la découverte de marqueurs physiologiques indirects tels que la pompe sodium-potassium (Na/K-ATPase), la thromboxane B2, la protéine C réactive, et l'endothéline-1. Il n'existe pas actuellement de test fiable, rapide, et abordable des concentrations de magnésium dans le corps humain.
Rôle du magnésium dans l'organisme : Lla formation des os et des dents, avec le calcium et le phosphore ; Favorise la fixation du calcium sur l'os ; Action sur la croissance ; La transmission de l'influx nerveux ; Favorise la plasticité cérébrale et évite le déclin de la mémoire ; La contraction musculaire, rythme cardiaque ; Contribue aux mécanismes de défense immunitaire ; Lutte contre le stress, effet sédatif (relaxant musculaire) ; À forte concentration, lutte contre la constipation par action osmotique et stimulation motrice locale ; Lutte contre la lithiase oxalo-calcique ; Anti-allergique ; Anti-inflammatoire ; Anti-agrégant plaquettaire (rôle protecteur contre les thromboses) ; Radioprotecteur ; Régulateur thermique ; Catalyse de nombreuses réactions métaboliques (catalyse enzymatique, synthèses glycogénique et protéique, transfert du phosphate, etc.) ; Lutte contre l'insomnie ; Il est essentiel au développement et à la prolifération des lymphocytes T ; Il a un fort effet vasodilatateur et bronchodilatateur.
Signes de carence en magnésium (hypomagnésémie) : Le déficit en magnésium, qui concerne une majorité de la population est la première cause de fatigue, et d'anxiété. Mais il est également un facteur important dans les troubles suivants : Stress (psychologique, allergique, digestif, respiratoire, oxydatif, toxique, inflammatoire...) ; Hyperexcitabilité neuromusculaire : crises de tétanie se caractérisant par la contracture des membres supérieurs (mains d'accoucheur) et du visage ; Les manifestations chroniques sont le signe de Chvostek (= la percussion de la bouche provoque une contracture de la lèvre supérieure) et le signe de Trousseau (= un garrot au niveau du bras provoque une contracture de la main) ; Troubles immunologiques ; Atteintes cardio-vasculaires et, dans les cas extrêmes, infarctus ; Fatigabilité musculaire ; Troubles digestifs : diarrhées, nausées et anorexie ; Irritabilité, nervosité, insomnie ; Crampes, tremblements ; Myoclonies (= contractions musculaires brèves et involontaires, entraînant ou non un mouvement) ; Syndrome confusionnel ; Crises comitiales (= crises d'épilepsie) le plus souvent convulsives ; Problèmes au cours de la gestation, pour la mère et le fœtus ; Dérèglement du système thermique du corps (en plein été, on a la sensation qu'il fait terriblement froid) ; spasmophilie.
Signes d'hypermagnésémie : Hypotension ; Bradycardie ; Nausées, vomissements ; Fatigabilité musculaire ; Hyporéflexie ou aréflexie ; Hypotonie musculaire, somnolence ; Syndrome confusionnel ; Coma, arrêt cardiaque.
Note : l'hypermagnésémie est pratiquement toujours d'origine iatrogène (due à un médicament).
Source : Wikipédia

Photomètre potassium, jusqu'à 10,0 mg/L Ref. : HI97750
Photomètre potassium, jusqu'à 10,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97750C
Réactifs pour photomètres, potassium (100 tests) Ref. : HI93750-01
Le potassium peut avoir des effets quand il est respiré. L’inhalation peut irriter les yeux, le nez, la gorge, les poumons avec l’éternuement, la toux et la gorge endolorie. Des expositions plus élevées peuvent causer une accumulation de liquide dans les poumons, ceci pouvant causer la mort. Le contact avec la peau et l’œil peut causer des brûlures graves menant à des dommages permanents.

Quand les reins fonctionnent mal, il y a une accumulation de potassium ce qui peut entraîner une perturbation des battements du cœur. Au-delà de 25 mg/kg de masse corporelle, le potassium est toxique. En intraveineuse, la dose létale pour un humain est d'environ 30 à 35 mg/kg. Un surdosage en potassium provoque l’hyperkaliémie, alors qu'un sous-dosage en potassium provoque l’hypokaliémie. L’hyperkaliémie découle le plus souvent des insuffisances rénales très avancées (le rein n’excrète plus le potassium, et il va donc augmenter) alors qu'il est quasi impossible d’avoir une hyperkaliémie quand les reins fonctionnent normalement. On traite l’hyperkaliémie par des perfusions de bicarbonates (on alcalinise le sang), jusqu’aux cas les plus extrêmes où l’on effectue une hémodialyse (rein artificiel)… Un arrêt cardiaque peut survenir surtout si les changements de la kaliémie ont été brusques. Il existe des manifestations avant-coureuses : des troubles du rythme cardiaque, des troubles digestifs (hypokaliémie seulement), des douleurs musculaires (hypokaliémie seulement).
Source : Wikipédia

Mini-photomètre Checker HC phosphates, gamme étroite (jusqu'à 2,50 mg/L) Ref. : HI713
Photomètre phosphates, jusqu'à 30,0 mg/L Ref. : HI97717
Photomètre phosphates, jusqu'à 30,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97717C
Réactifs pour photomètres, phosphates gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93713-01
Réactifs pour photomètres, phosphates gamme large (100 tests) Ref. : HI93717-01

Photomètre phosphore, jusqu'à 15,0 mg/L Ref. : HI97706
Photomètre phosphore, jusqu'à 15,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97706C
Réactifs pour photomètres, phosphore (100 tests) Ref. : HI93706-01
Le phosphore est un oligoélément indispensable - sous forme de sels - pour de nombreux organismes vivants, et sous forme de phosphate notamment pour les plantes. Sous formes solubles et solubilisées notamment, le phosphore a servi de médicament (extrait de l'urine humaine jusqu'en 1774). Mais quand il est pur, et sous certaines de ses formes, c'est un puissant toxique et corrosif de l'organisme.
Mutagénicité : un autre problème environnemental est posé par la radioactivité de certains isotopes du phosphore.
Source : Wikipédia

Mini-photomètre Checker HC fer (jusqu'à 5,00 mg/L) Ref. : HI721
Photomètre fer, jusqu'à 1,60 mg/L Ref. : HI97746
Photomètre fer, jusqu'à 1,60 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97746C
Réactifs pour photomètres, fer gamme étroite (50 tests) Ref. : HI93746-01
Réactifs pour photomètres, fer gamme large (100 tests) Ref. : HI93721-01
Le fer (Fe) est un composant de l'hémoglobine, de la myoglobine et de nombre d'enzymes de l'organisme. Le fer héminique est principalement contenu dans les produits animaux. Il est beaucoup mieux absorbé que le fer non héminique (p. ex., des végétaux et des céréales). Le fer non héminique représente > 85 % du fer dans l'alimentation moyenne. Cependant, l'absorption du fer non héminique est augmentée quand il est consommé en association avec des protéines animales et de la vitamine C.

Le fer peut s'accumuler dans l'organisme pour les raisons suivantes : Traitement martial à doses excessives ou trop prolongé ; Transfusions sanguines répétées ; Hépatopathie alcoolique ; Surdosage en fer

La surcharge en fer peut aussi provenir d'une affection héréditaire potentiellement létale (hémochromatose), mais facilement curable, où le fer est absorbé en excès. L'hémochromatose touche > 1 million d'Américains.

L'excès de fer est toxique et entraîne des vomissements, une diarrhée et des lésions du tube digestif ainsi que d'autres organes.

Le diagnostic de l'intoxication par le fer est basé sur l'évaluation clinique et parfois (p. ex., dans l'intoxication chronique) nécessite une confirmation par la mesure de la concentration sérique du fer et de la ferritine.

Le traitement de l'intoxication ferreuse implique souvent la déféroxamine, qui se lie avec le fer et est excrétée dans l'urine. L'hémochromatose est traitée par phlébotomie.
Source : Le Manuals MSD

Mini-photomètre Checker HC brome (jusqu'à 8,0 mg/L) Ref. : HI716
Le brome élémentaire est toxique et caustique (il provoque des brûlures chimiques sur la peau, les muqueuses et la chair), et son inhalation sous forme de gaz ou de vapeur provoque une irritation des voies respiratoires, se manifestant par une toux, puis une suffocation conduisant à la mort au-delà d’un certain seuil inhalé. Une exposition chronique conduit à des infections bronchiques fréquentes et à une détérioration générale de la santé.
L’OSHA (Occupational Safety and Health Administration) des États-Unis a défini une limite d'exposition admissible (PEL) pour le brome à une moyenne pondérée dans le temps (TWA) de 0,1 ppm. L’Institut national pour la sécurité et la santé au travail (NIOSH) a fixé une limite d’exposition recommandée (REL) de TWA 0,1 ppm et une limite à court terme de 0,3 ppm. L'exposition au brome immédiatement dangereux pour la vie et la santé (IDLH) est de 3 ppm.
L'anion bromure est peu toxique. Son apport quotidien normal est de 2 à 8 mg selon Nielsen (2000). Une exposition chronique à des niveaux élevés de bromure altèrent cependant la membrane des neurones, ce qui entrave progressivement la transmission de l'influx nerveux, entraînant une intoxication chronique dite bromisme. Le bromure a une demi-vie d’élimination de 9 à 12 jours, ce qui peut entraîner une accumulation excessive. Des doses de 0,5 à 1 g/j de bromure peuvent provoquer le bromisme. Historiquement, la dose thérapeutique de bromure était d'environ 3 à 5 g de bromure, ce qui explique pourquoi les intoxications étaient courantes. Bien que des perturbations importantes et parfois graves des fonctions neurologiques, psychiatriques, dermatologiques et gastro-intestinales se produisent, la mort par intoxication aiguë au brome est rare. Le bromisme est principalement lié à la neurotoxicité du brome dans le cerveau, qui entraîne somnolence, psychose, convulsions et délire.
Source : Wikipédia

Photomètre chrome VI (Chrome hexavalent), jusqu'à 300 µg/L
Photomètre chrome VI (Chrome hexavalent), jusqu'à 300 µg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97749C
Photomètre chrome VI (Chrome hexavalent), jusqu'à 1000 µg/L Ref. : HI97723
Photomètre chrome VI (Chrome hexavalent), jusqu'à 1000 µg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97723C
Réactifs pour photomètres, chrome VI gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93749-01
Réactifs pour photomètres, chrome VI gamme large (100 tests) Ref. : HI93723-01
Applications militaires et nucléaires : Après la Seconde Guerre mondial, des armées comme celle des États-Unis (US Army) ont certains composés du chrome hexavalent pour protéger certains véhicules et équipement terrestres, marin et aériens (aviation, systèmes de missiles) de la corrosion. Un apprêt réactif est alors pulvérisé sur le métal nu en tant que couche de prétraitement et de protection.
De 2012 à 2015, le laboratoire de recherche de l'US Army a mené des recherches sur un remplacement d'apprêts protecteurs de métaux, dans le cadre des efforts du DoD pour éliminer l'utilisation de certains produits toxiques dans l'armée. Des études ont conclu que les apprêts réactifs à base de chrome contenaient des polluants de l'air dangereux et des taux élevés de composés organiques volatils (COV). La recherche a finalement conduit au retrait des produits de chromate des installations de l'armée en 2017.
Toxicologie, écotoxicologie
Le chrome hexavalent est classé comme cancérogène, mutagène et reprotoxique, et à ce titre soumis à la réglementation européenne « Reach » (Registration, Evaluation, Authorization and restriction of CHemicals).
Source : Wikipédia

Photomètre nickel, jusqu'à 7,00 g/L Ref. : HI97726
Photomètre nickel, jusqu'à 7,00 g/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97726C
Photomètre nickel, jusqu'à 1,000 mg/L Ref. : HI97740
Photomètre nickel gamme étroite, jusqu'à 1,000 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97740C
Réactifs pour photomètres, nickel gamme large (100 tests) Ref. : HI93726-01
Réactifs pour photomètres, nickel gamme étroite (50 tests) Ref. : HI93740-01
En très faible quantité et sous des formes assimilables par l'organisme, le nickel est considéré comme un oligo-élément pour les animaux, également indispensable à la croissance des plantes.

Si le corps simple métal nickel sous forme compacte et massive n'est en principe pas toxique, un contact prolongé avec la peau et les muqueuses peut provoquer des démangeaisons, des prurits et parfois des allergies. L'ingestion de sels solubles dilués dans l'eau provoque nausées, vomissements, diarrhées.

Certains composés de nickel sont des corps dangereux ou très toxiques, par exemple le nickel tétra-carbonyle, cancérigène reconnu, présent dans les vapeurs ou fumées. Même la poussière de nickel ou les diverses poudres de nickel finement divisés, utilisé en catalyse, sont également reconnues cancérigènes, ils provoquent d'abord par contact et à faibles doses chroniques des dermites et des allergies cutanées.

La présence conséquente de nickel d'origine naturelle est toxique : C'est le cas sur les sols ultra-mafiques. Les sols contaminés massivement par le nickel deviennent stériles et la végétation rare, mises à part quelques rares espèces végétales à grande résistance. Il existe ainsi des plantes hyper-accumulatrices, comme l'Alyssum murale, qui peut récupérer à la terre souillée 120 kg/ha.

Imprégnation des populations humaines : Elle est a priori plus élevée dans les régions industrielles minières respectivement concernées par l'extraction et le travail de ce métal.

En 2018 en France, le « Volet périnatal » du programme national de biosurveillance a publié une évaluation de l'imprégnation des femmes enceintes dont pour le nickel (et douze autres métaux ou métalloïdes ainsi que quelques polluants organiques).

Le dosage du nickel a été fait dans les urines de 990 femmes enceintes au moment de leur arrivée à la maternité. Elles faisaient toutes partie de la « Cohorte Elfe », un pannel ne comprenant que des femmes ayant accouché en France en 2011 hors Corse et TOM).

Le dosage urinaire de ces 990 femmes a donné une moyenne géométrique de 1,38 μg de nickel par litre d'urine (1,89 μg/g de créatinine). Ces taux sont tels (voire légèrement moindres) que ceux précédemment décrits en France et à l’étranger chez les femmes enceintes ou chez les femmes adultes. Ici l'imprégnation par le nickel augmentait « avec le tabagisme et la consommation de thé ». Un lien avec le bilan martial pourrait éventuellement expliquer cette association avec le thé, mais faute de données « sur le statut ferrique des femmes enceintes au sein de la cohorte Elfe ceci reste une hypothèse ».

Toxicité pour l'homme : Le corps humain contiendrait moins de 500 µg de nickel. Cet oligo-élément semble très sélectif, il joue un rôle au niveau pulmonaire. Mais sa présence excessive est nocive.

Le Centre international de recherche sur le cancer classe le nickel dans les substances possiblement cancérigènes pour l’homme. L'exposition chronique au nickel est un facteur de risque du cancer du poumon, inscrit à ce titre dans les tableaux de maladies professionnelles.

Le nickel est le plus allergisant de tous les métaux. Plus de 12 % de la population y est allergique, dont une majorité de femmes. La réaction la plus fréquente est une dermatite de contact provoquée par un bracelet de montre, des bijoux fantaisie, des accessoires vestimentaires (boucles, boutons, fermetures éclair, etc.).

Malgré cette toxicité, le nickel est resté partie intégrante de la construction des pièces en euros.

Exemple : Dans la couronne de la pièce de 2 € ou dans le centre de la pièce de 1 € il y a du nickel, mais se rajoute le cupronickel (alliage de cuivre et nickel) et aussi un alliage avec de plus fortes proportions de cuivre pour les pièces de 1, 2 et 5 centimes d'Euros, ainsi que du cuproaluminium (alliage de cuivre et aluminium).

Il y a des polémiques sur l'utilisation du nickel dans les alliages dentaires non précieux.

Contamination environnementale : Dans le monde, le rejet annuel dans l'atmosphère serait de 24 000 à 87 000 t/an (selon les évaluations), et il faut y ajouter les 26 000 t annuellement émises par les volcans ou issues de l'érosion éolienne.

Le taux de nickel dans la mer varie selon les lieux du globe ; de 0,12 à 0,70 µg/L avec une moyenne de 0,4 μg/L.

En France, les émissions dans l'air étaient estimées à 218 t en 2002 (pour les sources provenant de la combustion de pétrole et charbon, et de l'industrie métallurgique (métaux non ferreux). L'Agence de l'eau Seine-Normandie a estimé que dans son bassin une centaine de tonnes de nickel étaient apportées aux cours d'eau, majoritairement à partir du ruissellement agricole V.

En mer, le taux en est souvent plus élevé près de la côte (de 4 μg/L dans la Seine et de 1 μg/L dans le Rhône, en phase dissoute, et 50 mg/kg par exemple sur les matières en suspension de la Gironde ou environ 30 mg/kg pour la Seine et le Rhône).

Aux États-Unis, le Mussel Watch donne un taux moyen dans les moules de 1,9 mg/kg (p.s.) avec un maximum de 3,5 mg/kg (p.s.). Pour les huîtres, la moyenne serait de 1,8 mg/kg (p.s.) avec un maximum de 3,4 mg/kg (p.s.). Au nord du territoire australien, dans des eaux peu polluées le taux de nickel varie de 0,36 à 0,44 mg/kg (p.s.) pour les huîtres.

Écotoxicité : Ses effets écotoxiques sont peu étudiés, bien que ce métal présente une forte affinité pour les ligands organiques comportant une fonction thiol (SH-), ce qui explique que sa toxicité est diminuée en présence de ligands. Elle l'est aussi en présence de Carbone Organique Dissous (COD) et de matières en suspension (MES).

Son écotoxicité est aussi modulée par le pH du milieu, la présence d'autres métaux ou polluants (qui peuvent avoir des effets synergiques ou non) et selon le mode et la voie d'exposition (nourriture, eau, sédiment), dont chez les mollusques aquatiques qui le bioconcentrent (de 1 à quelques dizaines de mg/kg). Chez les escargots aquatiques d'eau douce Hyalella azteca et Lymnaea stagnalis, le nickel se montre le moins toxique pour l'animal quand il n'est présent que dans l'eau. Il est plus toxique pour l'escargot dans le sédiment et le plus toxique quand il est présent comme contaminant à la fois dans les trois compartiments (eau, sédiment et nourriture).

Chez l'huître, le développement larvaire est perturbé à 349 μg/L de sulfate de nickel et à 891 μg/L chez la moule qui y semble donc moins sensible. Les moules d'eau douce (ex. : moule zébrée) peuvent aussi en accumuler une quantité considérable dans leur coquille.
Source : Wikipédia

Photomètre sulfates, jusqu'à 150 mg/L Ref. : HI97751
Photomètre sulfates, jusqu'à 150 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97751C
Réactifs pour photomètres, sulfate (100 tests) Ref. : HI93751-01
Ont peut les considérais comme dangereux

Photomètre fluorures, jusqu'à 2,00 mg/L Ref. : HI97729
Photomètre fluorures, jusqu'à 2,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97729C
Photomètre fluorures, jusqu'à 20,0 mg/L Ref. : HI97739
Photomètre fluorures, jusqu'à 20,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97739C
Réactifs pour photomètres, fluorures gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93729-01
Réactifs pour photomètres, fluorures gamme large (100 tests) Ref. : HI93739-01
Fluorures et santé humaine : Fortes concentrations : À haute dose, les composés fluorés sont toxiques et peuvent provoquer la mort.
Chez la souris, la DL50 est de 184 mg de fluorure stanneux par kilogramme de masse corporelle. En 1987, G. M. Whitford rapportait le décès d'un enfant consécutif à l'administration accidentelle de fluorures à raison de 5 mg/kg, mais dès 1899 Herbert B. Baldwin avait observé sur lui-même des symptômes d'empoisonnement à la suite de l'absorption de fluorures à des doses aussi faibles que 0,1 - 0,3 mg/kg, entre autres des désordres gastro-intestinaux.

Par ingestion directe, les composés fluorés sont directement assimilés au niveau des intestins.
Au fil des heures, ces substances sont évacuées dans les urines, hormis pour une partie des fluorures qui se sont fixés au niveau du squelette.
L'analyse d'urine est un moyen fiable de détecter une exposition récente à des composés fluorés.

Le contact de composés fluorés concentrés avec la peau, les muqueuses ou l’œil est généralement dangereux.
En cas d'ingestion accidentelle, l'absorption peut être ralentie en buvant du lait, du carbonate de calcium ou du lait de magnésium.
Les vêtements contaminés doivent être enlevés et lavés à l'eau.

Intoxication chronique : Les ions fluorures se substituent aux ions hydroxydes dans l'hydroxyapatite formant l'émail dentaire (de formule brute Ca5[(PO4)3OH]), pour former du calcium fluoroapatite (de formule brute Ca5[(PO4)3F]). Cette dernière molécule est plus stable chimiquement et ne se dissout qu'à un pH de 4,5 (au lieu de 5,5 pour l'émail dentaire). L'industrie du dentifrice en tire argument pour affirmer que les dentifrices fluorés contribuent à la lutte contre les caries, puisqu’il faut une ambiance plus acide pour attaquer les dents soignées aux fluorures. Historiquement, c'est en 1951 que deux chercheurs de l'université d'Indiana (Bloomington), Joseph C. Muhler et Harry G. Day publièrent leurs recherches sur le fluorure stanneux et ses effets dans la prévention des caries6. L'université vendit d'abord leur brevet au groupe Procter & Gamble qui l'utilisa pour produire le dentifrice Crest. Plusieurs organismes, notamment l'American Dental Association (ADA) et l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS), se sont appuyés sur les études épidémiologiques disponibles pour approuver la fluoration systématique de l'eau, et quelques organisations sanitaires recommandent même d'élever la fluoration de l'eau potable jusqu'à des concentrations de 0,7 à 1,2 ppm.

L'un des effets secondaires les plus largement admis de la fluoration de l'eau aujourd'hui est la fluorose, une affection liée à la consommation régulière de fluorures pendant plusieurs années, et qui se traduit par un jaunissement des dents. La concentration en fluorures susceptible d'entraîner cette maladie est de l'ordre de quelques ppm, et on admet généralement qu'il faut pour cela dépasser nettement la concentration de 0,7 à 1.2 ppm, les doses recommandées pour la fluoration de l'eau. Pour autant, les pathologies sont essentiellement liées à un mauvais dosage : Le fait de savoir si une concentration est toxique pour un individu dépend de la quantité de fluorures qu'il aura ingérés précédemment et de son poids. C'est la raison pour laquelle de nombreux médecins ont protesté contre la fluoration systématique, et recommandent un dosage adapté aux enfants.

Thèses contestées : Certains adversaires de la fluoration de l'eau affirment que les fluorures portent atteinte aux fonctions vitales. Le principal argument est que les fluorures diminuent la résistance des os, et sont à l'origine d'une plus grande fréquence de fractures du col du fémur et du poignet. Parmi les autres méfaits dénoncés par les opposants à la fluoration, il faut mentionner l'action des fluorures sur le cerveau, la fonction thyroïdienne, et le fait qu'ils seraient responsables d'une plus grande fréquence du cancer des os chez les garçons. Si une enquête récente du US National Research Council confirme que les fluorures sont responsables, du moins à haute dose, d'affections semblables, plus d'une centaine d'institutions sanitaires gouvernementales et internationales et d'organisations professionnelles persistent à reconnaître les vertus de la fluoration d'eau potable dans la prévention des caries dentaires. On retrouve cette théorie, exagérée, dans le film Docteur Folamour.

Dépollution d'eau ou fluides pollués par des fluorures : Une des propositions existantes est d'utiliser une des propriétés chimiques d'un déchet industriel (la boue rouge produite par millions de tonnes par l'industrie aluminière), qui se montre capable de fixer les fluorures, surtout si elle a été "activée", c'est-à-dire préparée pour optimiser cette propriété, qui est la plus manifeste à un pH 5,5 et dans certaines conditions. La mise en contact, avec agitation, doit cependant durer plusieurs heures (au moins deux).
Source : Wikipédia

Photomètre molybdène, jusqu'à 40,0 mg/L Ref. : HI97730
Photomètre molybdène, jusqu'à 40,0 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97730C
Réactifs pour photomètres, molybdène (100 tests) Ref. : HI93730-01
Un cas d'intoxication par le molybdène pourrait avoir eu lieu en 1961 avec des symptômes goutteux et des anomalies du tractus gastro-intestinal, du foie et des reins.
Source : Le Manuals MSD

Photomètre hydrazine, jusqu'à 400 µg/L Ref. : HI97704
Photomètre hydrazine, jusqu'à 400 µg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97704C
Réactifs pour photomètres, hydrazine (100 tests) Ref. : HI93704-01
L'hydrazine est hautement toxique et dangereusement instable, surtout sous sa forme anhydre. On l'utilise généralement sous forme de monohydrate stable.
Les symptômes d'une exposition aiguë à des niveaux élevés d'hydrazine peuvent se manifester chez l'homme par l'irritation des yeux, du nez et de la gorge, des étourdissements, des céphalées, des nausées, un œdème pulmonaire, des convulsions, un coma. Une exposition aiguë peut également endommager le foie, les reins et le système nerveux central chez l'homme. Le liquide est corrosif et peut produire un eczéma de contact chez les humains et les animaux. Des effets nocifs pour les poumons, le foie, la rate et la thyroïde ont été rapportés chez des animaux exposés de façon chronique à l'hydrazine par inhalation. Une augmentation du nombre de cas de tumeur du poumon, de la cavité nasale, et du foie a été observée chez les rongeurs exposés à l'hydrazine.
Sa toxicité fait l'objet de réévaluations périodiques, avec l'évolution des connaissances.
Un dérivé de l’hydrazine a également été mis en cause dans une étude scientifique, reliant la consommation d’un champignon, Gyromitra esculenta, contenant cette toxine à un cluster de cas de SLA (anciennement appelée maladie de Charcot).
Source : Wikipédia

Photomètre silice, jusqu'à 2,00 mg/L Ref. : HI97705
Photomètre silice, jusqu'à 2,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97705C
Photomètre silice, jusqu'à 200 mg/L Ref. : HI97770
Photomètre silice, jusqu'à 200 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97770C
Réactifs pour photomètres, silice (100 tests) Ref. : HI93705-01
J'ai pas trouver de méfait sur la santé pour le moment, a voir ?

Photomètre argent, jusqu'à 1,000 mg/L Ref. : HI97737
Photomètre argent, jusqu'à 1,000 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97737C
Réactifs pour photomètres, argent (50 tests) Ref. : HI93737-01
Tous les sels d'argent sont toxiques. L'argent est aussi un polluant et un contaminant. Très toxique pour les bactéries, les champignons et de nombreux organismes à sang froid, l'argent est extrêmement toxique pour les larves de mollusques alors que les adultes peuvent le bio-accumuler en quantité importante.

Pour des raisons mal comprises, l'être humain en supporte des doses bien plus élevées que ces organismes. L'absorption d'argent dans la circulation du sang de l’organisme humain ne semble pas avoir d’effet direct en dessous d'un certain seuil, mais un excès provoque une maladie dite argyrisme qui donne à la peau et au blanc de l'œil un teint gris-bleuâtre, voire noirâtre.
Écotoxicologie : Au-delà de 0,4 ng/litre, l'argent est considéré comme un indicateur de pollution (par le nitrate d'argent par exemple) ; Des baies très polluées comme la Baie de San Francisco et celle de Caroline du Sud en contiennent jusqu'à 20 ng/litre voire plus ; Les organismes marins filtreurs peuvent en accumuler des doses préoccupantes (par exemple, 0,01 à 58 mg kg−1 de chair, en poids sec, relevé dans des moules aux États-Unis, ou 1,8 à 11 mg kg−1 dans des huîtres (p.s.)) ; L 'argent pourrait ainsi contribuer à certains déséquilibres écologiques et au phénomène de zones marines mortes qui caractérise certaines baies ; En France, de 2003 à 2007, l'Ifremer a constaté que les moules en contiennent localement de grandes quantités entre l'estuaire de la Seine et la façade maritime picarde, selon la cartographie interactive des données de surveillance obligatoire pour les métaux, HAP, PCB, DDT, lindane dans la chair des huîtres et moules ; En France toujours, alors que beaucoup de métaux lourds tendent à diminuer dans la chair des poissons pêchés en mer et commercialisés depuis les années 1990, l'argent reste stable ou a même pu localement dans les années 2000 significativement augmenter.
Source : Wikipédia

Mini-photomètre Checker HC nitrites, gamme étroite (jusqu'à 600 µg/L) Ref. : HI707
Photomètre nitrites, jusqu'à 0,600 mg/L Ref. : HI97707
Photomètre nitrites, jusqu'à 0,600 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97707C
Photomètre nitrites, jusqu'à 150 mg/L Ref. : HI97708
Photomètre nitrites, jusqu'à 150 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97708C
Réactifs pour photomètres, nitrite gamme large (100 tests) Ref. : HI93708-01
Réactifs pour photomètres, nitrite gamme étroite (100 tests) Ref. : HI93707-01
Dans les cours d'eau, notamment canalisés, et dans les régions densément habitées ou d'agriculture intensive, les nitrites (ou bien les nitrates) sont souvent une source de pollution.
Chez l'humain et autres mammifères, la présence de nitrites dans le sang empêche l'hémoglobine de fixer convenablement l'oxygène. C'est l'une des causes de la « maladie bleue du nourrisson », plus savamment appelée « méthémoglobinémie » . En avril 2011, trois enfants en sont morts en Chine.
C'est pourquoi la teneur en nitrites dans l'eau potable est réglementée (notamment pour la préparation des biberons) et, indirectement celle des nitrates en raison de leur capacité à se transformer en nitrites.
Le nitrite est un conservateur des viandes transformées très utilisé par l'industrie agroalimentaire. Il est classé cancérigène probable par le CIRC. En milieu acide, comme c'est le cas dans l'estomac, les nitrites, très présents dans la charcuterie comme additifs, provoquent la formation de deux produits cancérogènes avérés : d'une part du fer nitrosylé (en réagissant avec le fer héminique), d'autre part, des nitrosamines (en réagissant avec les amines secondaires). Ces molécules, appelées « composés nitrosés » (en anglais : nitroso-compounds) sont cancérogènes, notamment impliquées dans l'apparition du cancer colorecta. Une étude sur une cohorte de plus de 100 000 adultes suggère également une association entre la consommation de nitrites (notamment présents dans la charcuterie) et un risque accru de diabète de type 2.
Source : Wikipédia

Photomètre manganèse gamme large, jusqu'à 20,0 mg/L Ref. : HI97709
Photomètre manganèse, jusqu'à 300 µg/L Ref. : HI97748
Photomètre manganèse, jusqu'à 300 µg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97748C
Réactifs pour photomètres, manganèse gamme large (100 tests) Ref. : HI93709-01
Réactifs pour photomètres, manganèse gamme étroite (50 tests) Ref. : HI93748-01
À faible dose, le manganèse est un bio-élément reconnu du monde végétal et animal. Cet oligoélément, à des doses de l'ordre du milligramme par jour (au maximum 5 mg/j pour un homme adulte), est essentiel pour les enzymes du corps. Les dérivés du manganèse sont toxiques à fortes doses. Dès 10 mg/j, le manganèse est un neurotoxique létal. Les poussières de manganèse doivent être surveillées en milieu industriel, avec une limite autorisée des teneurs en élément Mn à moins de 5 mg/m3. En effet, absorbées en excès, elles causent de graves désordres du métabolisme et du système nerveux, nommés la folie du manganèse, succession de spasmes et d'états de langueur, qui, de manière similaire à la maladie de Parkinson mais avec des psychoses hallucinatoires, conduise à la paralysie au stade ultime. L'ensemble des pathologies causées par cet élément se nomme manganisme.
Dans l'eau le taux de manganèse varie beaucoup selon le contexte géologique, de 10 à 10 000 µg/L (mais rarement au-dessus de 1 000 µg/L et presque toujours sous les 200 µg/L. Des concentrations de quelques μg/L peuvent tacher les textiles et engendrer des goûts, des couleurs et des odeurs trop facilement perceptibles. Un traitement d'épuration, en fixant le manganèse sous forme solide, s'impose souvent. De l'eau contenant une sur-concentration inhabituelle de sels de manganèse, le plus souvent d'origine naturelle, est appelée « eau noire » dans le jargon des physicochimistes de terrain.
Dans le milieu aquatique ses deux formes principales sont Mn (II) et Mn (IV), avec un mouvement entre ces deux formes, contrôlé par le contexte abiotique ou microbien plus ou moins oxydoréducteur. Dans l'eau, la chimie de l'environnement du manganèse est principalement régie par le pH et les conditions redox du milieu ; Mn (II) dominant quand le pH et le potentiel redox sont bas et au profit d'une proportion croissante de manganèse colloïdal oxy-hydroxydes à un pH supérieur à 5,5 (dans les eaux non dystrophes. À la limite sédiment-eau, et dans le sédiment les facteurs chimiques qui contrôlent la forme chimique du manganèse sont le taux d'oxygène de l'eau sus-jacente, et la pénétration de cet oxygène dans le sédiment, ainsi que la quantité de carbone organique benthique. L'anthropisation des milieux a modifié ces conditions (avec les pluies acides et l'acidification des océans, et une tendance générale à l'eutrophisation et au colmatage et à l'eutrophisation des sédiments devenant plus souvent anoxiques).
Source : Wikipédia
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N°65

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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mar 6 Fév 2024 - 7:53

Photomètre aluminium, jusqu'à 1,00 mg/L Ref. : HI97712
Photomètre aluminium, jusqu'à 1,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97712C
Réactifs pour photomètres, aluminium (100 tests) Ref. : HI93712-01
Teneur de l'organisme humain en aluminium : L'organisme d'un sujet contemporain de pays industriel contient de 30 à 50 mg d'aluminium selon l'ATSDR en 1999, ou 50 à 150 mg selon le Römpp Lexikon Chemie en 2013. L'ATSDR en 1999 l'estimait surtout présent dans l’os (environ 50 %), le poumon (environ 25 %) et le foie (20 à 25 %), le reste étant partagé dans d'autres organes, dont le système nerveux central et la rate. Une source plus récente l'estime présent à environ 50 % dans les tissus pulmonaires, 25 % dans les tissus mous et 25 % dans les os. Les taux tissulaires (dont dans le poumon et le cerveau) augmentent avec l'âge (environ 35 à 50 mg d'aluminium s'accumuleraient ainsi dans le corps durant la vie).

A venir les tests colorimétriques
Cependant, comme pour d'autres métaux toxiques, chez l'homme et chez d'autres espèces de mammifères testées, pour une même dose standardisée ingérée, les valeurs d'absorption corporelle de l'aluminium varient significativement selon les individus (selon l'âge, l'état des reins, et selon la génétiques qui influe sur le niveau d'absorption gastro-intestinale de l'aluminium).
Après ingestion, le pic dans le plasma peut varier du simple au triple selon l'individu.

Cinétique dans l'organisme humain et élimination : Pour l'aluminium ingéré : L'aluminium présent dans les aliments (10 à 40 mg par jour, voire plus) est à 99 à 99,9 normalement éliminé dans les fèces, sans être absorbé dans le tractus gastro-intestinal. Mais ce taux varie selon le composé chimique, sa solubilité, le pH du bol alimentaire et la présence éventuelle d'agents complexants chélateurs (tels que l'acide citrique du jus de citron peuvent augmenter l'absorption à 2 à 3 %). On estime que 1 ‰ et 3 ‰ de l'aluminium provenant de la nourriture et de l'eau potable sont absorbés dans le tractus gastro-intestinal, et plus chez des personnes dont la perméabilité intestinale est anormalement élevée (Cf. maladie cœliaque).

Chez une personne en bonne santé, 83 % de cet aluminium ayant traversé la barrière intestinale sera ensuite peu à peu éliminé, essentiellement via les reins (un rein en bon état élimine de 3 à 20 µg l−1 d'urine). Des chélateurs (EDTA, déféroxamine, etc.) accélèrent cette élimination.

Demi-vie dans l'organisme : La demi-vie dans l'organisme varie selon l'importance et la durée d’exposition et selon la durée de la redistribution de l’aluminium à partir des organes qui l'ont stocké. Elle peut durer plusieurs années.

Elle est triphasique : En phase 1, la moitié de l'aluminium est éliminé en quelques heures, en phase deux, 50 % de ce qui reste est éliminé en quelques semaines, et il faut habituellement plus d'un an pour éliminer la moitié du reste.

Dans le compartiment osseux : Le système osseux est l'un des réceptacles de l'aluminium. On peut l'y détecter en colorant la matrice osseuse non décalcifiée par l'azurine solochrome (colorant permettant la détection de l'aluminium atomique à des taux de 0,03 %.

L'« encéphalopathie aluminique » autrefois souvent associée à l'ostéomalacie chez les personnes dialysées pour insuffisance rénale chronique a presque disparu après élimination de l'aluminium du dialysat, mais on retrouve parfois ensuite une partie de cet aluminium dans les os où il est associé à l'hydroxyapatite. Il a aussi été associé à l'exostose, une tumeur osseuse bénigne fréquente.

Le taux d'aluminium augmente aussi dans l'os chez chez les personnes prenant régulièrement des médicaments anti-acides aluminiques et/ou ayant une perméabilité intestinale anormalement élevée (Cf. maladie cœliaque).

Dans les cas d'hémochromatose et de drépanocytose, l'aluminium est colocalisé avec le fer, pour une raison encore à préciser au milieu des années 2010.

La corrosion des implants prothétiques composés de titane grade V (TA6V est un alliage contenant 6 % d'aluminium et 4 % de vanadium) a également été observée dans une série de reprises de hanche ou de genou.

Dans le cerveau : Des expériences indépendamment conduites aux États-Unis en Australie et en France ont montré que de l'Al radiomarqué est détecté dans le cerveau d'animaux de laboratoire quinze jour après qu'ils ont consommé une dose d'aluminium équivalente à celle consommée par des humains buvant un unique verre d'eau traitée à l'alun.

La demi-vie dans le sang est normalement d'environ huit heures, mais si la fonction rénale est altérée, cette durée s'allonge, avec un risque accru d'accumulation délétère dans le corps (cerveau et os en particulier, par ex chez les dialysés).

Voies d'exposition à l'aluminium et à ses divers composés : Les principales voies d'exposition sont les boissons et denrées alimentaires. En particulier, les additifs alimentaires sont une source croissante d'exposition (chlorure d'aluminium, citrate d'aluminium, maltolate d'aluminium et autres complexes aluminium-acide alimentaire, phosphate d'aluminium, silicate d'aluminium, sulfate d'aluminium et autres espèces d'aluminium). Les additifs sont utilisés comme colorant de goûters et de desserts tels que croustilles de maïs, glaces, gâteaux, ou encore des bonbons et confitures. On en retrouve dans l'enrobage de comprimés de vitamines et de médicaments et gélules para-médicales. C'est aussi un anti-agglomérant ajouté au sel, au cacao en poudre ou au lait en poudre, ou encore un émulseur qui accroît la fondabilité des fromages, ou un agent levant des pains, gâteaux et d'autres produits de boulangerie industrielle. Il épaissit des crèmes ou sauces et sert de liant des viandes dans les saucisses et la charcuterie. Il sert d'agent stabilisant, tampon, neutralisant, texturant et durcisseur pour les légumes marinés ou les fruits confits. Le fromage fondu de type pré-coupé, emballé individuellement en contient une quantité importante (jusqu'à 50 mg par tranche sont autorisés aux États-Unis et au Canada), et de nouveaux produits alimentaires à base d'aluminium sont régulièrement mis sur le marché.

D'autres sources sont certains matériaux en contact avec les aliments, et divers produits cosmétiques (en vente libre) et pharmaceutiques ou chirurgicaux. L'aluminium est aussi absorbé par la peau, lors d'applications topiques à base d'aluminium (dont via des écrans solaires et des déodorants, y compris à base d'alun). Il est enfin injecté dans le muscle dans le cas de nombreux vaccins injectables (à adjuvant vaccinal aluminique).

Les employés de l'industrie de l'aluminium (fonderie en particulier), de l'impression et de l'automobile y sont en outre professionnellement exposés.

Les usines de potabilisation d'eaux de surface et les stations d'épuration utilisent du sulfate d'alumine comme floculant et clarifiant. Une directive européenne a fixé un seuil de précaution de 200 µg/l à ne pas dépasser dans l'eau du robinet et les eaux de consommation. En France en 2007, ce seuil était respecté dans plus de 97 % de 381 contrôles. Dans ce pays selon l'AFSSA, « la part de l'exposition à l'aluminium par l'eau de boisson constitue probablement moins de 5 % des apports quotidiens d'aluminium par voie alimentaire de la population ». « Pour les eaux de dialyse, la limite de qualité fixée par la pharmacopée européenne et par la pharmacopée française est de 30 µg/l ».

Biodisponibilité pour l'organisme humain : Sa biodisponibilité et son taux d'absorption intestinale dépendent de divers facteurs : Forme de l'aluminium : Métal, vapeur, poudre ou nanoparticules (notamment évoquées depuis les années 2000 pour un usage potentiel comme agent clarificateur des eaux à potabiliser, dont lors de la désalinisation solaire), composé organique, minéral ou organominéral, etc. ; Type d'acquisition : par ingestion (aliments ou boissons contaminés tels que cacao et produits à base de cacao (33 µg/g dans les années 1980 en Allemagne), les épices (145 µg/g) et les feuilles de thé noir (899 µg/g), la contamination augmentant en général (dans les aliments fréquemment consommés sur le marché allemand) selon l'ordre suivant : Boissons > aliments d'origine animale > aliments d'origine végétale ; toujours à des taux réputés sans danger pour des personnes en bonne santé, éventuellement par de l'aluminium provenant de couverts, d'emballages, ustensiles et contenants), par inhalation ou percutanée) ; pH : L'acidité, même légère favorise sa dissolution et son assimilation, par ex en présence d'acide citrique, de citrates ou d'anions inorganiques) ainsi, éventuellement, que de la matrice (eau, aliments, médicament ou produit de soin, etc.). Ainsi dans l'eau de boisson, le taux d'« aluminium libre » dans une solution d'hydroxyde d'aluminium est mille fois plus élevé à pH 4,2 qu'à pH légèrement alcalin 7,4.
Au début des années 2000, l'eau du robinet, eau minérale plate et eau minérale gazeuse), des jus de fruits et de boissons gazeuses en Espagne en contenaient de 4,2 à 165,3 µg/l dans l'eau potable (n = 41) ; de 49,3 à 1 144,6 µg/l dans les jus de fruits (n = 47) et de 44,6 à 1 053,3 µg/l dans les boissons gazeuses (n = 88). Le matériau du contenant (bouteille de verre ou canette métallique) influait aussi sur ces teneurs (le verre étant moins contaminant). Au vu de la consommation individuelle quotidienne moyenne de ces boissons en Espagne, l'apport alimentaire quotidien en Al ainsi fourni est d’environ 156 µg/personne et par jour.
Une expérience a consisté à cuire dans une casserole en aluminium (telle qu'on en utilise fréquemment en milieu rural dans le monde) du chou rouge avec différents produits alimentaire acides (jus de citron à pH 2,6, vinaigre de vin et vinaigre de pomme à cidre). Résultat : même une faible acidité augmente la lixiviation de l'aluminium. Le jus de citron fait monter à 5,1 mg/100 g la teneur du chou rouge en Al. La cuisson d'une sauce tomate (avec et sans sucre) fait respectivement grimper la teneur du chou en aluminium à 2,7 ± 0,2 et 4,9 ± 0,2 mg d'Al/100 g de sauce tomate ; Après 48 h en récipients d'aluminium au réfrigérateur, ces échantillons montent respectivement à 2,8 ± 0,2 et 5,0 ± 0,2 mg d'aluminium par 100 g de sauce tomate.
Ceci contribue à expliquer que l'absorption intestinale de l'aluminium soit supérieure dans le début du duodénum (là où le bol alimentaire est le plus acide), par rapport au reste de l'intestin ; présence ou absence de chélateurs naturels dans l'alimentation.

Écotoxicologie : Phytotoxicité : Dans le monde, environ 50% des terres arables sont naturellement acides et plus ou moins riches en aluminium natif (latérite, argiles, etc.). Quand le pH est inférieur à 5,0, l'aluminium devient bio-disponible pour les plantes : Leurs racines absorbent alors des ions Al3+ phytotoxiques (hormis pour des espèces tolérante à l'aluminium) et à partir de 4,5, il commence à être mobile et bio-disponible. L'aluminium perturbe le fonctionnement de nombreuses enzymes et protéines végétales, allant jusqu'à empoisonner la plante, par des mécanismes encore mal compris.

Dans les années 1960-1970 le phénomène de pluies acides a aggravés cette situation, dont en sur-acidifiant les eaux de surfaces et les lacs (d'Europe du nord notamment), provoquant la dissolution et la destruction d'un plus grand nombre d'ions Al3+, affectant les plantes aquatiques et palustres. En Suède et Norvège, ce lien a été scientifiquement établi dès les années 1970. L'acide sulfurique (alors principalement issu de la combustion de charbons et fuels non dé-soufrés) en se combinant avec le soufre produisait de l'hydroxysulfate d'aluminium phytotoxique selon la réaction suivante : Al(OH)3 + H2SO4 ⟶ Al(OH)SO4 + 2 H2O.

Dans ces contextes l'aluminium est un « facteur limitant majeur de la productivité des plantes dans les sols acides ». Dans la cellule végétale, il interagit négativement aussi avec l'adénosine triphosphate (ATP) synthase, de même qu'avec des protéines liées à la paroi cellulaire ; et la glutathion S-transférase (GST6) et la glutathion S-transférase tau 19 (ATGSTU19) peuvent contribuer cette phytotoxicité.

L'antidote est un apport de calcium exogène. Dès que le pH remonte au-dessus de 5,0 l'aluminium se lie à la surface des silicates (sous forme de cation hydroxy polymère). Dans la plante, le calcium atténue en outre l'inhibition de la croissance végétale induite par l'Al et il diminue l'accumulation du métal dans la plante, via un processus lié à des protéines impliquées dans le cycle de l'acide tricarboxylique (dit TCA).

Des variétés plus tolérantes à l'aluminium ont été sélectionnées par les agriculteurs traditionnels, et on a récemment produit des plantes transgéniques (ex. : Arabidopsis) rendues plus tolérantes à l'aluminium.

Toxicologie : Dans les années 1980, chercheurs et médecins s'inquiètent du risque sanitaire de l'aluminium, notamment dans les groupes vulnérables tels que les enfants, les personnes âgées et les personnes atteintes d'une néphropathie. Ce métal est depuis les années 1990 considéré comme neurotoxique.

Mécanismes de toxicité : L'ion aluminium Al3+ est un pro-oxydant assez réactif : Il induit des dommages oxydatifs seul (ou en synergie avec le fer, en créant des dommages peroxydants et un stress oxydatif, à la suite de l'augmentation du peroxyde intracellulaire ) ; Il se combine à l'ion superoxyde en générant du superoxyde d'aluminium, une espèce plus réactive que le radical superoxyde ; Il stabilise l'ion ferreux (Fe2+), empêchant son oxydation en Fe3+, or Fe2+ induit une réaction de Fenton très cytotoxique ; Il interfère négativement avec l'électrophysiologie cérébrale ; On sait que chez les ions de métaux toxiques, la similitude de taille est plus importante que la similitude de charge pour expliquer les mécanismes de substitution. Or Al3+ est un petit ion à charge fixe élevée, dont la taille (Cf. rayon ionique efficace) permet qu'il se substitue au fer ferrique (Fe3+) et au magnésium (Mg2+), par exemple dans les enzymes et les protéines structurales qui intègrent des métaux essentiels tels que le magnésium (Mg2+) et le fer ferrique (Fe3+).
On a ainsi montré que la substitution par Al3+ du Mg2+ dans les ATPases et d'autres des trois cents protéines dépendantes du Mg2+ modifie leur activité.
Ceci explique que dans le système circulatoire c'est une protéine de transport du fer qui transporte aussi 80 à 90 % d'aluminium plasmatique (le reste circulant sous une forme liée à l'albumine plasmatique, ou à des molécules de faible poids moléculaire tels que les citrates.
Tant qu'il est lié à ces protéines, Al3+ n'est plus filtré par le rein. De plus la transferrine l'aide à traverser la barrière hémato-encéphalique et à pénétrer les cellules dotées de récepteurs à cette protéine. C'est ainsi que l'Al3+ perturbe le métabolisme intracellulaire du fer et du magnésium dans le cerveau ; Al3+ dégrade aussi le métabolisme du calcium (Ca2+) en interférant négativement avec les voies de signalisation du Ca2+, en bloquant les canaux du Ca2+. Et il entre en rivalité avec ce cation pour les petits ligant tels que les phosphates ; Son rapport charge/taille presque maximal implique que l'Al3+ se dissocie des ligands cellulaires 104 fois moins vite que Mg2+ et 108 fois moins vite que Ca2+ ; L'aluminium alkylé catalyse des polymérisation (à pression et température ambiante), en produisant par exemple du polyéthylène à partir d'éthylène, comme l'a montré Karl Ziegler (récompensé par un prix Nobel de chimie en 1963), ce qui fait évoquer un rôle possible Dans la Maladie d'Alzheimer, où l'aluminium intracellulaire se lie aux peptides-tau et amyloïde (A) qui polymérisent pour former des filaments hélicoïdaux appariés à chaîne droite (PHF) et des filaments A, respectivement. Toutefois, les polyadditions étudiées par Ziegler sont très distinctes de la formation des liaisons peptides rencontrées dans les protéines, si bien qu'il reste, selon Walton (2014), « à déterminer si l'aluminium catalyse également la polymérisation dans les systèmes biologiques ».

Conséquences chez l'Humain : Une accumulation trop élevée d’aluminium dans l’organisme (et il tend à s'accumuler dans le cerveau avec l'âge) peut jouer un rôle dans divers maux comme : Certaines encéphalopathie, dont l'« encéphalopathie des dialysés » (ou « démence des dialysés ») observée dès 1972, qui a pu être attribuée en 1978 à l'aluminium contenu dans le dialysat (qui s'ajoute à un apport oral d'hydroxyde d'aluminium visant à contrôler l'hyperphosphorémie du patient). La réglementation européenne impose maintenant aux centres de dialyse de mieux contrôler l'exposition des dialysés à l'aluminium, ce qui s'est traduit par une diminution de leurs taux sériques moyens, avec une diminution de 61,8 ± 47,5 μg·l-1 en 1988 à 25,78 ± 22,2 μg·l-1 en 1996. L'une de complications au niveau du système nerveux central peut être la myofasciite à macrophages ; L’Épilepsie, y compris (chez le chat en laboratoire) via une exposition externe (telle qu'une crème riche en aluminium) ; Des troubles de mémoire et de l'apprentissage (selon le modèle animal) ; Le psoriasis ; Les insuffisances hépatorénales chroniques ; Le foie de rats nourris 1 mois avec des aliments contenant chaque jour 34 ou 50 mg de chlorure d'alumine (AlCl3) par kg de poids corporel présentent des altérations (« dommages pathologiques graves tels que : dilatation sinusoïdale, congestion de la Veine centrolobulaire, accumulation de lipides et infiltration lymphocytaire ») et une augmentation significative des MNHEP, de la phosphatase alcaline, des transaminases (AST et ALT) et de la lactate déshydrogénase (LDH). Selon cette étude la propolis peut « antagoniser » la toxicité d'AlCl3 ; L’Anémie (en interférant avec le métabolisme du fer) ; L’Ostéomalacie (os cassants ou mous) ; Des troubles du métabolisme du glucose dans le cerveau ; L'intolérance au glucose ; Certaines pathologies cardiaques. Selon Novaes et al. (2018), l'aluminium bioaccumulé dans l'organisme est cardiotoxique ; avec des lésions cardiaques dose-dépendantes). Chez le rat l'exposition chronique à l'aluminium peut notamment induire une myocardite, une fibrose du cœur et un dépôt de glycoconjugués. L'aluminium induit un déséquilibre micro-minéral intense ainsi qu'une oxydation de l'ADN génomique, au sein du tissu cardiaque, de même qu'une dégénérescence étendue des organites dans les cardiomyocytes. Ces anomalies (structurelles et ultra-structurales) du tissu cardiaque entraînant une large perte de parenchyme (qui induit en réaction une expansion stromale compensatoire), un infiltrat inflammatoire diffus, un dépôt anormal de glycoconjugué et de collagène, une subversion et un effondrement du réseau de collagène, des signes de vascularisation réduite du cœur, un gonflement mitochondrial, une désorganisation des sarcomères, une dissociation des myofilaments et une fragmentation dans les cardiomyocytes. Ce remodelage pathologique continu du cœur exposé chroniquement à l'aluminium pourrait être associé à des effets pro-inflammatoires et pro-oxydants induits par ce métal, selon des mécanismes encore à préciser mais pouvant conduire à l' arrêt cardiaque.

Ce métal commun est depuis plusieurs décennies soupçonné de jouer un rôle dans la Maladie d'Alzheimer pour les patients soumis à une exposition chronique à ce métal. Après 40 ans de recherche, en 2018, il n'y a pas de preuve d'association entre la maladie et ce métal.

Effets toxiques dans la vie courante : Alimentation : Les apports quotidiens en aluminium varient considérablement selon l'âge et le type et la quantité d'aliments ingérés. La FDA a estimé qu'au début du XXIe siècle, un humain en ingère de 2 à 14 mg par jour (selon l'âge, le sexe et le type de régime alimentaire). À titre d'exemple, selon des estimations récentes : En Europe, un Allemand moyen subit un apport alimentaire égal à environ 50 % de l'apport hebdomadaire tolérable (AHT, établi à 1 mg/kg de poids corporel/semaine pour une personne en bonne santé par l'Agence européenne de sécurité des aliments, l'EFSA). Les nourrissons et jeunes enfants peuvent légèrement dépasser cet AHT, notamment les nourrissons qui ne sont pas exclusivement allaités au sein et les jeunes enfants soumis à un régime alimentaire riche en soja, sans lactose, ou hypoallergénique)15. En ajoutant l'aluminium issu des produits cosmétiques et pharmaceutiques et des matériaux de contact alimentaire composés d'aluminium non revêtu, un dépassement significatif de l'AHT fixé par l'EFSA (et même du taux provisionnel de 2 mg/kg de poids corporel/semaine proposé par un comité d'experts FAO/OMS sur les additifs alimentaires) peut se produire même chez l'adulte. Des taux élevés d'aluminium ont été constatés chez les adolescents (11 - 14 ans). Les auteurs de l'étude jugent ces chiffres représentatifs des consommateurs européens et d'autres pays dans le monde (dont en Belgique). Ils rappellent qu'il est toxicologiquement souhaitable de ne pas régulièrement dépasser l'apport tolérable à vie ; il faut donc réduire l'exposition globale de la population générale à l'aluminium ; Aux États-Unis, au début des années 1990 selon le modèle d'exposition alimentaire de la Food and Drug Administration (FDA) Total Diet Study, l'apport journalier d'aluminium variait de 0,7 mg/j pour les nourrissons de 6 à 11 mois, à 11,5 mg/j pour les hommes de 14 - 16 ans. Et un homme adulte moyen en ingérait 8 à 9 mg/j, alors qu'une femme en ingérait un peu moins (7 mg/j). L'apport provenait surtout des aliments préparés avec des additifs alimentaires à base d'aluminium (produits céréaliers et les fromages fondus en particulier). Au début des années 1990 toujours, selon Greger : 1 à 10 mg/j proviendraient d'aliments frais (fruits, légumes, viande et poisson non transformés), et 50 % des Américains ingéreraient en outre jusqu'à 24 mg/j d'aluminium sous forme d'additifs ; 45 ingéreraient de 24 à 95 mg/j et environ 5 % en ingéreraient plus de 95 mg/j ; cette estimation étant alors la première à tenir compte des taux d'aluminium déclarés ajoutés aux aliments par les fabricants eux-mêmes à la fin des années 1970 ; Un Japonais moyen (en 2006-2010) ingère 41,1 µg/kg et par jour d'aluminium, soit respectivement 2 363 µg/personne et par jour, à comparer à 2,31 µg/kg de poids corporel/jour d'arsenic total, soit 138 µg/kg par personne/jour ; ou 0,260 µg/kg et par jour d'arsenic inorganique, soit 15,3 µg/kg par personne/jour ; ou 0,092 8 µg/kg et par jour de plomb, soit 5,40 µg/kg par personne/jour.
L'apport journalier variant selon le sexe (TA, Pb et Al) principalement en raison de la quantité d'aliments ingérés ; Au début du XXIe siècle, 30 % des Chinois absorbaient trop d'aluminium, dépassant la ration hebdomadaire tolérable provisoire (PTWI) ; À Hong Kong, l'analyse de 256 échantillons de nourriture de plats préparés ou de boulangerie présentaient des taux élevés d'aluminium (pain / petit pain / gâteau cuit à la vapeur en contenaient en moyenne 100 - 320 mg/kg), et les muffins, crêpes / gaufres, tarte à la noix de coco et gâteaux en moyenne : 250, 160, 120 et 91 mg/kg respectivement ; les méduses (en plat préparé) en contenaient en moyenne 1 200 mg/kg. Des additifs alimentaires contenant de l'aluminium étaient souvent très utilisés dans ces produits. À ces sources s'ajoutent les sources alimentaires naturelles, les matériaux en contact avec les aliments ou d'autres tels que la boisson. Les auteurs ont conclu qu' « un risque pour certaines populations consommant régulièrement des aliments contenant des additifs alimentaires contenant de l'aluminium ne peut être exclu ».

On sait au moins depuis les années 1990 que la cuisson d'aliments acides en contact avec une feuille d'aluminium (en papillote…) ou le contact de marinades ou sauces acides (sauce tomate par ex.) avec ces feuilles est l'une des principales sources de contamination de nos aliments en aluminium.

L'aluminium est aussi abondamment utilisé comme additif et colorant (colorant alimentaire), son numéro SIN est E173, E120, E121.

Respiratoire : L'aluminium n'est pas classé comme substance cancerigène par le CIRC. Cependant, La production d'aluminium est classée comme cancérigène du groupe 1 (cancérigène avéré pour l'Homme) (c'est-à-dire pour les travailleurs réalisant la production d'aluminium et exposés à des fortes doses de manière chronique).

Cosmétiques : On dénombre plus de vingt-cinq substances composées d'aluminium susceptibles d'être présentes dans des produits cosmétiques, notamment dans les déodorants (sous forme de sels d'aluminium). Parmi celles-ci, le chlorohydrate d’aluminium est l’une des plus utilisées pour ses propriétés antitranspirantes.

Rapport d'expertise de l'Afssaps (2011) : Un rapport de l'Afssaps publié en 2011 souligne le manque de données pertinentes quant au risque que représente l’absorption cutanée de l’aluminium contenu dans les produits cosmétiques. Il déplore la « qualité insuffisante des études publiées » et le fait que celles-ci ne répondent pas aux exigences actuelles. Un autre rapport de la Commission européenne datant de 2014 va également dans de sens.
Cependant, sur la base de données chez l'Homme, le rapport de l'Afssaps détermine à 1,2 % la concentration maximale en aluminium ne présentant pas de risque osseux ou neurotoxique, pour une application quotidienne à long terme de produit cosmétique.
Il ajoute que les données épidémiologiques ne permettent pas d'établir un lien concluant entre exposition cutanée et orale à l'aluminium et l'apparition d'un cancer.
L'Afssaps recommande finalement : aux producteurs de cosmétiques, de limiter la concentration d'aluminium dans les produits déodorants et anti-transpiration à 0,6 % (la limite légale, concernant uniquement le chlorhydrate d'aluminium et le zirconium anhydre, est de 20 %) ; Aux consommateurs, d'éviter par précaution d'utiliser des cosmétiques contenant de l'aluminium sur des peaux lésées ou irritées (par exemple après le rasage, ou toute autre lésion cutanée de type micro-coupures). Le rapport préconise également que cette recommandation figure sur les conditionnements des produits concernés.

Dosage dans les emballages et substrats destinés au contact alimentaire : Pour ces produits, notamment quand ils sont destinés au contact alimentaire, le BFR allemand a récemment (mai 2021) proposé une méthode d'analyse de l'extrait à l'eau ultra-pure (froide ou chaude, dans des récipients de verre préalablement plusieurs fois nettoyés à l'acide nitrique et plusieurs fois bien rincés à l'eau ultra pure) de résidus d'aluminium pour ces sources possible de contamination de l'alimentation ou de la peau humaine ; le BRF a aussi publié des conseils pour le traitement ultérieur des échantillons et demande que les produits analysés soient « utilisés en totalité ou dans une proportion représentative ».
Autres études : Une étude parue en janvier 2012 dans la revue scientifique Journal of Applied Toxicology publiant des articles de recherches originales concernant la toxicologie montre in vitro les effets néfastes des sels d’aluminium (chlorhydrate d’aluminium et chlorure d'aluminium) sur les cellules épithéliales mammaires humaines.
Source : Wikipédia

Photomètre cyanures, jusqu'à 0,200 mg/L Ref. : HI97714
Photomètre cyanures, jusqu'à 0,200 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97714C
Réactifs pour photomètres, cyanures (100 tests) Ref. : HI93714-01
Les sels de cyanure sont extrêmement toxiques, de même que le cyanure d'hydrogène et sa solution, l'acide cyanhydrique.
Les ferricyanures et ferrocyanures ne sont pas toxiques, car les ligands sont fortement liés à l'ion central, mais ils peuvent se décomposer sous l'effet des acides ou de la chaleur et libérer alors du cyanure d'hydrogène.

L'ion cyanure se fixe sur les atomes de fer contenus dans l'hémoglobine et la cytochrome oxydase (ion Fe2+ / Fe 3+). Cette dernière est responsable du transport et de l'utilisation du dioxygène dans la chaîne respiratoire mitochondriale. Il est à signaler que, si la fixation de cyanure sur l'hémoglobine déplace la courbe de saturation de l'hémoglobine vers la gauche et diminue de ce fait l'extraction de dioxygène par les tissus, ce mécanisme est modeste dans la mort par intoxication au cyanure.

Il est particulièrement redoutable sous forme de cyanure d'hydrogène, composé volatil et très toxique. Ce gaz se forme notamment lorsque les cyanures sont acidifiés (en solution ou par les sucs gastriques après ingestion). Il est utilisable pour ses propriétés anoxiantes comme arme chimique.

L'intoxication au cyanure peut se produire simplement lors de l'ingestion de certaines plantes (cassave, manioc…) et de noyaux de certains fruits. Ces derniers contiennent une molécule de cyanogène, l'amygdaline, décomposée dans l'intestin en glucose, aldéhyde et cyanure, sous l'effet des bêta-glucosidases. L'amande amère possédant elle-même une bêta-glucosidase activée à l'air, elle libère des effluves de cyanure d'hydrogène et de benzaldéhyde, c'est ce dernier qui dégage l'odeur d'amande amère couramment attribuée au cyanure lui-même.

L'amygdaline et le laétrile sont présentés à tort comme anticancéreux naturels, sans avoir jamais fait la preuve de leur efficacité in vivo, et présentent un risque élevé d'intoxication au cyanure.

La combustion de certains polymères (polyuréthanes, vinyles, laine) dégage du cyanure d'hydrogène et peut provoquer des intoxications, notamment dans des cas de « feux de lits » (personnes fumant au lit, s'endormant, la cigarette provoquant une combustion lente des couvertures) où les victimes meurent d'intoxication avant d'être brûlées9. L'utilisation des sels de cyanure en métallurgie a également accru le risque d'intoxication.

Les cyanures, essentiellement les cyanures de potassium et de sodium, sont utilisés comme pesticides pour ces propriétés toxiques, et peuvent être détournés pour des usages illégaux tels que la pêche au cyanure. Le Zyklon B, utilisé par les Nazis durant la Seconde Guerre mondiale comme poison dans les chambres à gaz, contient de l'acide cyanhydrique.
Source : Wikipédia

Photomètre acide cyanurique (acide isocyanurique ou s-triazine-2,4,6-triol), jusqu'à 80 mg/L Ref. : HI97722
Photomètre acide cyanurique (acide isocyanurique ou s-triazine-2,4,6-triol), jusqu'à 80 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97722C
Réactifs pour photomètres, acide cyanurique (100 tests) Ref. : HI93722-01
Environnement : Il s'accumule dans l'eau traitée au chlore quand ce dernier est stabilisé aux UV par de l'isocyanure.
C'est un produit bioaccumulable (par exemple chez les bivalves).
Sa structure chimique particulière ne laisse pas de point d'accès aisé pour l'oxydation, tant biocatalytique que chimique, ce qui rend ce composé particulièrement résistant aux traitements de dépollution de l'eau.

Toxicité : Ce peut être un produit de dégradation d'autres produits chimiques, et il peut agir en synergie avec d'autres produits (toxicité soupçonnée pour le rein chez l'animal en présence de mélamine par exemple).

Applications : L'acide cyanurique est utilisé comme chlore stabilisant / tampon dans les piscines. Il se lie au chlore libre et le libère lentement, prolongeant ainsi le temps nécessaire pour épuiser chaque dose de désinfectant.

La teroxirone, un médicament anti-néoplasique, est formée en faisant réagir l'acide cyanurique avec trois équivalents d’épichlorhydrine.
Source : Wikipédia

Photomètre brome, jusqu'à 10,00 mg/L Ref. : HI97716
Photomètre brome, jusqu'à 10,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97716C
Réactifs pour photomètres, brome (100 tests) Ref. : HI93716-01

Photomètre iode, jusqu'à 12,5 mg/L Ref. : HI97718
Photomètre iode, jusqu'à 12,5 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97718C
Réactifs pour photomètres, iode (100 tests) Ref. : HI93718-01

Photomètre zinc, jusqu'à 3,00 mg/L Ref. : HI97731
Photomètre zinc, jusqu'à 3,00 mg/L, livré en mallette avec solutions étalons Ref. : HI97731C
Réactifs pour photomètres, zinc (100 tests) Ref. : HI93731-01
Tous les sels de zinc, obtenus par contact du métal avec des acides ou matières organiques, sont toxiques. C'est pourquoi le métal zinc a été proscrit très tôt en cuisine.

Si le zinc est un oligoélément à faible dose, il reste un élément toxique à fortes doses, autant que par ses poussières métalliques, ses vapeurs d'oxyde de zinc, le chlorure de zinc irritant pour les muqueuses et la peau, ses divers sels solubles vénéneux qui induisent par ingestion diarrhées, vomissements, nausées...

Un jus de fruit stocké inconsidérément au frais plus d'une journée dans un bac en tôle galvanisé ou en zinc peut capter par une lente action des acides organiques jusqu'à 500 mg de Zn assimilable par kilogramme. Ce qui est suffisant pour provoquer vomissement et nausées chez les enfants qui ont bu le breuvage.

L'oxyde de zinc dégagé lors de soudure provoque souvent des fièvres de métaux. Certains composés de zinc sont cancérigènes à fortes doses.
Le zinc est un élément trace dans les sols. Il est important pour la vie végétale. Mais un excès d'engrais superphosphates sur des sols pauvres amène immanquablement une déficience en zinc. Dans les terrains souillés par une sur-concentration de zinc et/ou ses sels, voire dans les terrains gorgés d'engrais ou de composés zincifères, il est rare que la végétation puisse reprendre un aspect normal. Plutôt que de laisser des dépôts sauvages, il est impératif de recycler ce matériau, par ailleurs facilement recyclable.
En 2004, on a récemment découvert (à Lommel sur un site pollué par une ancienne raffinerie de zinc, la Société Métallurgique de Lommel dite «de Maatheide ») qu'il existe au moins un variant génétique d'un champignon (Suillus bovinus), naturellement résistant au zinc, et que ce champignon symbiote protège alors aussi les pins de l'écotoxicité de ce métal. Cette découverte a confirmé le rôle de champignons et des microbes symbiotes racinaires adaptés à la pollution comme « composante majeure de la stratégie de survie des arbres qui colonisent des sols contaminés ».

Oligo-élément indispensable à faible dose à la vie animale et humaine : En très faible quantité, le zinc sous forme assimilable est un oligo-élément important, indispensable aux organismes végétaux et animaux. Dûment assimilé par les organismes, il active en particulier les enzymes, influence la croissance, favorise les réactions et contrôles biochimiques au niveau des surfaces pulmonaires. Le corps humain en contient 2 à 4 g. Les besoins journaliers peuvent être estimés au moins à 15 mg pour un être humain adulte, et jusqu'à deux fois plus pour une femme allaitante.

Le zinc est contenu dans diverses levures (jusqu'à 100 mg par kilogramme), dans la viande rouge bovine (de l'ordre de 50 mg à 120 mg par kilogramme), mais aussi dans une multitude d'aliments commercialisés. La biodisponibilité du zinc d'origine végétale est parfois remise en cause. Or s'il est vrai que les végétaux contiennent des anti-nutriments qui diminuent l'absorption du zinc, les carences en zinc ne semblent pas plus courantes pour les véganes.

Les légers excès de Zn sont éliminés par la sueur, il ne semble pas exister de forme de stockage de ce métal dans l'organisme humain. Une carence patente en zinc est notée dans près d'un tiers de la population mondiale, essentiellement liée à la sous-nutrition.

Des données récentes montrent qu'il peut aussi y avoir des carences dans les populations de pays riches lié une alimentation mal équilibrée, chez l'enfant et la personne âgée. De jeunes Américains, refusant la consommation de viandes sans rechercher les apports d'oligo-éléments appropriés et complémentaires des végétariens et végétaliens, présentaient une déficience en zinc avant les années 1990. Mais la plus grande zone de carences concernait les territoires ruraux de l'Égypte et de l'Iran où l'alimentation traditionnelle à base de céréales et de légumes rejetait l'intervention intermédiaire des levures et ferments (pain azyme, sans levain, pâtes non levées ou non fermentées). Certains composés chimiques des céréales, les composés phosphorés de fibres nommés phytates, tendent en effet à complexer différents métaux oligo-éléments comme le zinc, qui, même présent dans l'aliment céréale, ne devient plus assimilable (ou très peu assimilable). Les ferments agissant en amont libèrent a contrario le zinc des céréales et légumes.

Dès les années 1980, le déficit en zinc est reconnu comme un problème de santé publique mondiale.

Un déficit, même léger, a un impact sur certaines fonctions, dont immunitaires responsable de la défense vis-à-vis de certaines infections. Concrètement, les blessures guérissent difficilement. Le déficit chronique peut induire une sensibilité accrue à certaines infections bactériennes (pneumonie) ou virales (diarrhées, infections des voies respiratoires), des troubles de la croissance des enfants et adolescents, des retards sexuels.

Le zinc est important pour la santé reproductive (spermatogenèse) et peut être un traitement efficace dans certaines formes d'acné.

Les déficiences en zinc sont souvent préoccupantes dans les élevages de porcs et de volailles.

Enfin, les carences en zinc infligent une double peine aux patients exposés à la pollution des sols remis en culture par forçage productif, car le cadmium et autres métaux lourds fortement toxiques prennent facilement sa place dans l'organisme. Ainsi les premières victimes nippones de la maladie de itai-itai étaient d'abord de pauvres personnes déficientes en Zn, risquant la dénutrition complète si elles ne suivaient pas l'ordre autoritaire de production moderne par des moyens chimiques et artificiels.

Toxicité : Au-delà d'une certaine dose, le zinc est toxique et polluant : Le zinc est l'un des éléments traces métalliques qui devient un contaminant et un polluant au-delà des doses qui le rendent écotoxiques (qui varient selon les espèces, et le contexte ; par exemple il est plus mobile et biodisponible en milieu acide qu'en milieu basique). On l'a d'abord constaté dans et autour des raffineries de zinc où seules quelques espèces résistent bien aux sols contaminés par ce métal. Le zinc du sol (ou apporté par l'eau, l'air ou des boues d'épuration) peut à certaines doses s'avérer écotoxique pour des plantes cultivées PM(soja par exemple).

Des inquiétudes ont récemment émergé quant aux effets de nanoparticules d'oxyde de zinc sur les cultures. Elles se sont montrées (chez le soja) expérimentalement exposé  - sous serre - à des nanoparticules de zinc) non toxiques pour la plante (à la différence du dioxyde de cérium), mais capables de s'y bioaccumuler dans les parties comestibles (feuilles et graine).

Difficulté de la bio-indication : Cas des moules et des huîtres : Les huîtres, aux chairs à hautes teneurs en calcium, révèlent un puissant pouvoir de (sur)concentration des oligo-élements et autres éléments disséminés dans les eaux de nourrissage. Au contraire, les moules, à l'instar d'autres coquilles, stockent le calcium dans leurs coquilles. Les deux espèces régulent parfois efficacement les teneurs des éléments en excès, surtout si ceux-ci sont potentiellement des oligo-éléments et non des éléments toxiques à facteur d'accumulation irrémédiable comme le plomb, le mercure ou le cadmium.

Le chimiste australien Ben Selinger a rapporté les rejets de zinc toxiques de la raffinerie industrielle de la compagnie Electrolytic Zinc Co, installée sur la rivière Derwent, près d'Hobart, en Tasmanie. En 1972, les eaux de la rivière étaient alors également polluées à moindre mesure par le cadmium (compagnon minier du zinc), le mercure des quelques industries papetières en amont. Et les huîtres à l'embouchure avaient mauvaise réputation, puisqu'une demi-douzaine bien fraîches pouvaient causer en pratique vomissements et nausées. La cause du rejet de l'organisme était la présence de Zn, en moyenne jusqu'à un maximum autour de 1 000 mg par kg, comme le prouvait l'analyse chimique.

Malgré le déni des autorités, l'accident du minéralier « Lake Illawara » s'écrasant le 5 janvier 1975 contre le pont de la Derwent et se cassant en deux alors qu'il était chargé de minerais enrichis de zinc n'était pas sans action sur le taux de polluants des eaux. Les milliers de tonnes de matière non draguées et dispersées contribuaient alors à augmenter, par dissolution et dilution lentes, la teneur du milieu ripuaire en aval du port, et surtout du milieu marin, parfois à des centaines de kilomètres via les courants, malgré la mise en place de zones théoriques d'observations et de contrôle biologiques considérablement plus réduites. En 1988, les concentrations des eaux dûment surveillées de l'estuaire du Derwent étaient redevenues officiellement légales, et les coquilles et mollusques consommables, d'après les mesures référentielles des moules affichant un supremum de zinc légèrement inférieur 40 mg par kg. En réalité, l'écosystème était revenu peu ou prou à l'état de pollution d'avant l'an 1975. Et le plus surprenant est que la population des huîtres de l'estuaire, dont une partie étaient toujours aussi immangeables à l'instar de celles de 1972, n'étaient pas mortes. Tout s'était passé comme si les fortes concentrations de Zn et de cuivre avaient protégées la population des mollusques bivalves des effets des teneurs en éléments encore plus toxiques, tels que le cadmium, mercure.
Source : Wikipédia
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 7 Fév 2024 - 9:50

Tout ça, ça fait quand même flippé, et quoi que l'on face, on ne peut pas y échappé.
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13Mer 7 Fév 2024 - 18:10

Ont peut comme même réduire en filtrant sont eau et de contrôler sont filtre.
Je ne le dirais jamais assez filtrer sur charbon actif tout eaux pour la consommation ou pour faire de la nourriture.
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MessageSujet: Re: Testé de l'eau    Testé de l'eau  Emblem13

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